description
Onyx
24 ans
191 centimètres
Homme cis
Il
Policier
Lignée des Équilibres
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
Une vie simple et carrée, une bonne génétique, de bons résultats, tout pour plaire, Onyx. Tu as même pensé à te projeter avec « Elle », celle que tu as aimée, celle que tu aimes sans doute encore, mais qui ne peut plus te voir. Toujours au second plan, négligée, laissée pour compte, voilà votre relation foutue en l’air pour ta carrière. Vous aimez tous deux la justice. À travers les articles, qui plus est, mais les siens sont dans le journal officiel et les tiens, dans le code pénal.
Mais il est là « Lui », ton meilleur ami. Vous avez fait vos classes, vos nocturnes, vos patrouilles, vos intégrations, vos galères. Tant qu’il est là, qu'est-ce qui pourrait t’arriver ? Se délaisser de la chair pour la noble tâche de grandir humainement, devenir une meilleure version de toi-même au quotidien pour le groupe. Ce sens aigu de la justice, tu l’as toujours eu.
Pourtant, c’est ce qui te fait regretter ces valeurs fondamentales. Tout paraît si simple dans le monde du crime quand l’aide vient de l’intérieur de l’ordre. Ça devient suspect lorsque l’enquête sur laquelle tu travailles avec Lui et d’autres n’avance pas. Les autres gars du groupe s’agacent aussi ; vous tournez en rond, avec la sensation qu’ils ont plusieurs coups d’avance, ou même plusieurs salaires d’avance.
Tu finis par découvrir ce qu’il ne fallait pas. C’est Lui qui a cédé, dont la moralité du groupe s’est évaporée. Pour quelques morceaux de pierre qui brillent le soir, pour cette saloperie qui a ruiné l’estime de ton ami. Parfois, à être trop naturel, on finit par ne pas se rendre compte qu’on change. Tu n’as pas découvert une preuve tonitruante, mais Lui a fait l’erreur que seul un ami remarque : un cabanon mal rangé où vous preniez votre matériel de sport ou de bricolage pour retaper quelques façades, pour fantasmer sur le projet d’un radeau sur la grande mer de nuages. Son cabanon était trop bien rangé pour toi.
Documents, pots-de-vin, messages, photos, plans d’action du crime organisé et plans de répression de la police au même endroit, même cachés, ne font pas bon ménage. Une discussion houleuse, de l’incompréhension et, malheureusement, tu es resté fidèle à tes convictions pour te projeter. Tu l’as planté scolairement, comme lors de vos classes, mais cette fois vous périssiez tous les deux, lui de rubis et toi de nacre.
Cercle non officiel, trahison officieuse. Policier exemplaire qui n’hésite pas à faire l’ultime sacrifice de son amitié pour la justice. Les médias ont aimé. Quelle ambiguïté. Ami jaloux ou policier inflexible. L’ultime sacrifice de la raison ? Tout ça t’a brisé. L’Équilibre a fait de toi son pion, capable d’exécuter chaque besogne sans remords. Tu ne sais rien.
Tu ne te définis que par l’amère main gantée à travers laquelle tu sers la justice.
Mais il est là « Lui », ton meilleur ami. Vous avez fait vos classes, vos nocturnes, vos patrouilles, vos intégrations, vos galères. Tant qu’il est là, qu'est-ce qui pourrait t’arriver ? Se délaisser de la chair pour la noble tâche de grandir humainement, devenir une meilleure version de toi-même au quotidien pour le groupe. Ce sens aigu de la justice, tu l’as toujours eu.
Pourtant, c’est ce qui te fait regretter ces valeurs fondamentales. Tout paraît si simple dans le monde du crime quand l’aide vient de l’intérieur de l’ordre. Ça devient suspect lorsque l’enquête sur laquelle tu travailles avec Lui et d’autres n’avance pas. Les autres gars du groupe s’agacent aussi ; vous tournez en rond, avec la sensation qu’ils ont plusieurs coups d’avance, ou même plusieurs salaires d’avance.
Tu finis par découvrir ce qu’il ne fallait pas. C’est Lui qui a cédé, dont la moralité du groupe s’est évaporée. Pour quelques morceaux de pierre qui brillent le soir, pour cette saloperie qui a ruiné l’estime de ton ami. Parfois, à être trop naturel, on finit par ne pas se rendre compte qu’on change. Tu n’as pas découvert une preuve tonitruante, mais Lui a fait l’erreur que seul un ami remarque : un cabanon mal rangé où vous preniez votre matériel de sport ou de bricolage pour retaper quelques façades, pour fantasmer sur le projet d’un radeau sur la grande mer de nuages. Son cabanon était trop bien rangé pour toi.
Documents, pots-de-vin, messages, photos, plans d’action du crime organisé et plans de répression de la police au même endroit, même cachés, ne font pas bon ménage. Une discussion houleuse, de l’incompréhension et, malheureusement, tu es resté fidèle à tes convictions pour te projeter. Tu l’as planté scolairement, comme lors de vos classes, mais cette fois vous périssiez tous les deux, lui de rubis et toi de nacre.
Cercle non officiel, trahison officieuse. Policier exemplaire qui n’hésite pas à faire l’ultime sacrifice de son amitié pour la justice. Les médias ont aimé. Quelle ambiguïté. Ami jaloux ou policier inflexible. L’ultime sacrifice de la raison ? Tout ça t’a brisé. L’Équilibre a fait de toi son pion, capable d’exécuter chaque besogne sans remords. Tu ne sais rien.
Tu ne te définis que par l’amère main gantée à travers laquelle tu sers la justice.
Le sculpteur, éternel étudiant, ne se lasse jamais des fêlures que ses mains laissent dans l’exercice de son art. Pourtant, les fêlures s’accumulent, et tu n’as rien d’un canon.
On aurait du mal à dire si tu aimes ou détestes les gens, l’Homme ou le corps social. Après tout, tu es capable de tout pour le « commun ». Le groupe prime sur l’individu, et tu crèverais en son nom ; de toute façon, il ne te reste que cette doctrine utilitariste et la volonté stoïcienne d’agir pour la justice. Tu mènes une hygiène de vie stricte où chaque heure est dédiée à une activité spécifique. Tu es impossible à surprendre à l’improviste ; tout doit être planifié à l’avance. Tu détestes l’imprévu.
Loin d’être un mauvais bougre, bien au contraire, tu es silencieux et introverti. Tu ne sais plus accorder ta confiance aux gens, et personne n’a la force de te l’arracher. Il existe de nombreuses façons de capter un peu de ton attention : des paroles, une discussion, mais elles sont souvent le fruit du hasard dans le fil des conversations où tu t’intéresses parfois un peu.
Au boulot, on peut difficilement te reprocher quoi que ce soit : tu es ponctuel, protocolaire, respectueux, sérieux, investi, prudent et mesuré. On ne trouve pas grand-chose à te redire sur le fond, même si tu manques souvent sur la forme, mais qui osera te le dire ? Tu as saigné ton meilleur ami. C’était le meilleur choix à faire, tu le sais.
Cette rationalité te coûte aujourd’hui ta santé mentale, ta stabilité émotionnelle et la possibilité d’avoir un cercle social de confiance. Cette rationalité qui te pousse à croire que tu n’as pas de réel pouvoir sur ce qui t’entoure, seulement la possibilité d’y réagir. C’est pratique quand on est flic ; la justice devient protocolaire depuis deux ans, et cela te permet de te protéger en sacrifiant une partie de ton libre arbitre.
En fait, tu es devenu un terrible stoïcien qui prend à revers l’ensemble pour cacher ton apathie derrière du fatalisme contrôlé. Personne ne veut s’engager avec toi : tu es un chantier désespéré, un projet de villa dans le bayou, une bouteille d’oxygène percée dans l’océan.
Tu as la sensation que dans le sourire des gens se cache l’insouciance de se préoccuper des autres, et que cela est devenu un signe d’égoïsme et d’autosuffisance. Peut-être est-ce parce que tu ne te définis plus que par ton usage plutôt que par tes goûts. Tu manges de la nourriture fade : riz, brocoli, poulet, à peine un peu d’huile d’olive à tous les repas, et du skyr avec un carré de chocolat noir 100 % au dessert. Je ne dirais pas que tu as des goûts de doberman Onyx, mais on comprend mieux pourquoi personne ne t’invite au restaurant : tu es fade.
8 h de sommeil.
8 h de travail hors astreinte.
1 h de cuisine et repas.
3 h de sport.
1 h de lecture.
2 h pour le « divers » (courses, ménage, etc.).
1 h de trop dans la journée où tu ne sais pas quoi faire.
Tu vis à contretemps, comme un métronome de valse qui s’insupporte du tango qui se joue devant lui. Parfaitement réglé et dissocié de la réalité.
On aurait du mal à dire si tu aimes ou détestes les gens, l’Homme ou le corps social. Après tout, tu es capable de tout pour le « commun ». Le groupe prime sur l’individu, et tu crèverais en son nom ; de toute façon, il ne te reste que cette doctrine utilitariste et la volonté stoïcienne d’agir pour la justice. Tu mènes une hygiène de vie stricte où chaque heure est dédiée à une activité spécifique. Tu es impossible à surprendre à l’improviste ; tout doit être planifié à l’avance. Tu détestes l’imprévu.
Loin d’être un mauvais bougre, bien au contraire, tu es silencieux et introverti. Tu ne sais plus accorder ta confiance aux gens, et personne n’a la force de te l’arracher. Il existe de nombreuses façons de capter un peu de ton attention : des paroles, une discussion, mais elles sont souvent le fruit du hasard dans le fil des conversations où tu t’intéresses parfois un peu.
Au boulot, on peut difficilement te reprocher quoi que ce soit : tu es ponctuel, protocolaire, respectueux, sérieux, investi, prudent et mesuré. On ne trouve pas grand-chose à te redire sur le fond, même si tu manques souvent sur la forme, mais qui osera te le dire ? Tu as saigné ton meilleur ami. C’était le meilleur choix à faire, tu le sais.
Cette rationalité te coûte aujourd’hui ta santé mentale, ta stabilité émotionnelle et la possibilité d’avoir un cercle social de confiance. Cette rationalité qui te pousse à croire que tu n’as pas de réel pouvoir sur ce qui t’entoure, seulement la possibilité d’y réagir. C’est pratique quand on est flic ; la justice devient protocolaire depuis deux ans, et cela te permet de te protéger en sacrifiant une partie de ton libre arbitre.
En fait, tu es devenu un terrible stoïcien qui prend à revers l’ensemble pour cacher ton apathie derrière du fatalisme contrôlé. Personne ne veut s’engager avec toi : tu es un chantier désespéré, un projet de villa dans le bayou, une bouteille d’oxygène percée dans l’océan.
Tu as la sensation que dans le sourire des gens se cache l’insouciance de se préoccuper des autres, et que cela est devenu un signe d’égoïsme et d’autosuffisance. Peut-être est-ce parce que tu ne te définis plus que par ton usage plutôt que par tes goûts. Tu manges de la nourriture fade : riz, brocoli, poulet, à peine un peu d’huile d’olive à tous les repas, et du skyr avec un carré de chocolat noir 100 % au dessert. Je ne dirais pas que tu as des goûts de doberman Onyx, mais on comprend mieux pourquoi personne ne t’invite au restaurant : tu es fade.
8 h de sommeil.
8 h de travail hors astreinte.
1 h de cuisine et repas.
3 h de sport.
1 h de lecture.
2 h pour le « divers » (courses, ménage, etc.).
1 h de trop dans la journée où tu ne sais pas quoi faire.
Tu vis à contretemps, comme un métronome de valse qui s’insupporte du tango qui se joue devant lui. Parfaitement réglé et dissocié de la réalité.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
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- Questions
Avez-vous choisi de vous-même de rallier votre lignée ? Si oui, pourquoi ? Si non, dans quelles circonstances votre adhésion s’est-elle faite ? L'Equilibre t'a approché après la révélation du meurtre et « arrestation » de ton meilleur ami. En échange de tes services, ils t'ont permis d'avoir un bon avocat, favoriser ton avis dans l'opinion publique et obtenir des sanctions minimes puisque tu as respecté le protocole de combat, d'appréhension et de conservation des preuves trouvées. « Lui » est mort seulement en dommage collatéral, c'est un ripoux entraîné, corrompu et donc dangereux.
L'Equilibre est venue dans une tenue trois pièces stricte et bien coûteuse te proposer d'intégrer une structure qui travail pour la justice légale avec des moyens qui dépassent les cadres usuels en échange de ta confiance, de ton silence et ton abnégation. Difficile de refuser alors tu as accepté. Tu ne voulais pas être seul, tu ne tiendrais pas. Il est préférable d'être surveillé qu'isolé de tout.
L'Equilibre est venue dans une tenue trois pièces stricte et bien coûteuse te proposer d'intégrer une structure qui travail pour la justice légale avec des moyens qui dépassent les cadres usuels en échange de ta confiance, de ton silence et ton abnégation. Difficile de refuser alors tu as accepté. Tu ne voulais pas être seul, tu ne tiendrais pas. Il est préférable d'être surveillé qu'isolé de tout.
Quel est votre niveau de connaissance vis-à-vis des lignées ? Quelle est votre opinion sur ces dernières ? Tu ne sais rien. Socrates dirait que c'est déjà savoir quelque chose, mais en réalité tu n'as que l'essentiel que tes interlocuteurs ont bien voulu te communiquer. Tu effectues les tâches confiées, c'est tout. On couvre tes arrières, ça suffit.
Un avis neutre, en réalité ils ont pu te prouver que leur soutien est nécessaire lorsqu'on est dans leurs bonnes grâces. Tu n'es pas avec eux par conviction zélée et aveugle, tu n'as aucune confiance en eux, mais tu peux dormir sereinement avec eux et c'est tout ce que tu leurs demande.
Un avis neutre, en réalité ils ont pu te prouver que leur soutien est nécessaire lorsqu'on est dans leurs bonnes grâces. Tu n'es pas avec eux par conviction zélée et aveugle, tu n'as aucune confiance en eux, mais tu peux dormir sereinement avec eux et c'est tout ce que tu leurs demande.
Par quelles compétences vous illustrez-vous (technologiques, intellectuelles, physiques, humaines, etc.) ? Tu es physiquement ce qu’on pourrait appeler une véritable force de la nature : un corps digne d’un dieu grec et un visage à la beauté troublante, comme celui de Morphée revenu des enfers. Musclé, athlétique, souple et rapide, ton corps récupère facilement des chocs et de la fatigue. C’est un atout idéal pour un policier d’intervention comme toi. Un atout qui fait rêver, qu’on admire, qu’on jalouse, et auquel tu n'accordes pourtant aucune confiance particulière. Tu te trouves laid dans le miroir ; ton corps te semble disproportionné, faible, inutile, et tâché. Le rouge du sang semble toujours imprégné sur ta peau. Cette dysmorphie a fini par t'éloigner des miroirs ; seul le tissu parvient à atténuer ce mal-être.
Plutôt compote d’insectes, canard laqué cultivé ou steak de durian délicatement fumé au maroilles ? Cela fait des mois que tu ne t’es pas offert un repas différent des brocolis, riz, poulet, skyr et un carré de chocolat noir. Il fut un temps où tu ne pouvais jamais refuser des crêpes. Cela fait sans doute des années que tu n’en as pas mangé.
Utilisez-vous souvent DysCord ? Tu n'es que très peu sur les réseaux. Tu as sûrement oublié tes identifiant pour les énième fois.
Un secret inavouable ? La presse sait déjà que tu l'as tué. Que pourrais tu cacher de plus?
Avez-vous des projets, des ambitions, pour le futur ? Aucun, tu es las de tout projet. Tu attends la prochaine journée de travail avec l'impatience de quelqu'un qui n'a rien à faire de sa vie pour s'occuper.
Souhaitez-vous explorer la Mer d’Albâtre ? Si votre parcours vous y a déjà mené, quelles furent vos impressions de cette étendue ? Tu en as rêver Onyx. Ce radeau qui a coulé en même temps que ton sourire. Lorsque la Méduse à figer le sang de ton ami. Maintenant les nuages semblent si loin, tu n'images même plus y naviguer, pas même lorsque tu te rêvasses parfois dans le vide ou lors de tes méditations.
Pseudonyme
JoshPronoms
ilSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Oui, volontier, je ne serai peut-être pas le plus actif à faire toutes les activités, mais je serai làAutre chose à rajouter ?
Lisez Blue lock.(J'ai pas rp depuis une plombe, j'ai des lacunes de français que j'avais corrigé qui sont sûrement ressorti malgré double aide à la correction, je suis navré par avance ! )