description
Elliot
21 ans
176 centimètres
Homme cis
Il/Lui
Employé de superette
Pas de lignée
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
On a laissé sur le parquet ce qui resterait de son enfance -
la peluche sale -
le pyjama taché -
les billes éparpillées -
Aux enfants à qui on ne demande pas l'avis -
On les a pris -
et le père honteux, s'est caché -
pourfuir la réalité de ce qu'il vivait -
son dernier regard vers la maison était lourd de question -
et sa main trop fort serré parl'émotion -
de répéter qu'il ne fallait paspleurer -
On a laissé sur le parquet ce qui restait de son enfance -
et plus jamais -
On y retournerait.
la peluche sale -
le pyjama taché -
les billes éparpillées -
Aux enfants à qui on ne demande pas l'avis -
On les a pris -
et le père honteux, s'est caché -
pour
son dernier regard vers la maison était lourd de question -
et sa main trop fort serré par
de répéter qu'il ne fallait pas
On a laissé sur le parquet ce qui restait de son enfance -
et plus jamais -
On y retournerait.
méfiant × éponge émotionnelle × sensible × nerveux × impatient × irascible × erratique × ingénieux × curieux × virulent × empathique × méticuleux × complexé × téméraire × seul × crédule × pudique × tenace
Elliot suinte d’un mal-être qu’on ne comprend pas. Entre ses doigts se tordent ses mots, ses gestes purulents d’une pudeur qu’on exècre - trop molle, trop pâteuse, qui se colle et s’effiloche. Elliot est maladroit dans ses pas, se met là où on ne le veut pas - gène alors qu’il n’ose pas. On le pousse sur le côté lui l'ingrat, le scélérat.
Elliot a la colère en éclat, ne la gère pas. D’être né la rage au cœur, au bord des lèvres, constamment, il arracherait tout ce qui passe trop près. Elliot défini par sa violence n’exhale que sa médiocrité. Lui qui contient sous la pression, finit toujours par exploser. Éclat de fureur, de cris, de sueur - destructeur. Ça lui est difficile d'être doux - mais les chiens sont-ils doux quand l’Homme est mauvais ?
Elliot maudit aux autres leur insouciance, leur ignorance. Ils ne se rendent compte, non, de rien. Pas du chagrin qu’ils causent, encore moins du dédain qu’ils marquent sur lui, qui devient son mépris envers lui. Elliot les maudit, eux et leurs sourires, eux et leurs mots doux qui ne sont que pour eux. Avares, ils épient. Et leurs yeux sur lui le font trembler, et leurs rires odieux crissent contre lui, lui donnent envie de vomir, de s’enfuir.
Elliot est un animal piégé, mutilé - le regard hagard, prêt à jaillir, il s'amputerait d’une main, d’un bras s’il le fallait. Elliot aurait aimé les gens s’il n’était pas lui. Il aurait aimé les voir aimer, se faire aimer. Il aurait espéré comme un chien espère le retour de son maître, après s’être fait jeter au bord de la route. Il aurait attendu couché, sous la pluie, sous la neige, serait mort là, dans l’attente d’un retour qui ne viendra pas, où alors qu’il n’aurait pas pu attendre si longtemps. Le pathétisme dans son regard fait peine à voir quand il se débat et lève la voix. Elliot n’a pas d’ego, juste l'instinct d’une bête (un animal) qui se traîne dans le fossé. Il est envieux des autres, de leurs joies, leur aisance avec autrui. S’imagine leur vie comme il voudrait avoir la sienne, s’imagine la vivre à leur place et s’enferme dans son esprit à lui. Il deviendrait fou à l’idée que lui aussi pourrait être aimé.
Il s’imagine crever plutôt qu’espérer.
< i don't know why i bite >
Elliot suinte d’un mal-être qu’on ne comprend pas. Entre ses doigts se tordent ses mots, ses gestes purulents d’une pudeur qu’on exècre - trop molle, trop pâteuse, qui se colle et s’effiloche. Elliot est maladroit dans ses pas, se met là où on ne le veut pas - gène alors qu’il n’ose pas. On le pousse sur le côté lui l'ingrat, le scélérat.
Elliot a la colère en éclat, ne la gère pas. D’être né la rage au cœur, au bord des lèvres, constamment, il arracherait tout ce qui passe trop près. Elliot défini par sa violence n’exhale que sa médiocrité. Lui qui contient sous la pression, finit toujours par exploser. Éclat de fureur, de cris, de sueur - destructeur. Ça lui est difficile d'être doux - mais les chiens sont-ils doux quand l’Homme est mauvais ?
Elliot maudit aux autres leur insouciance, leur ignorance. Ils ne se rendent compte, non, de rien. Pas du chagrin qu’ils causent, encore moins du dédain qu’ils marquent sur lui, qui devient son mépris envers lui. Elliot les maudit, eux et leurs sourires, eux et leurs mots doux qui ne sont que pour eux. Avares, ils épient. Et leurs yeux sur lui le font trembler, et leurs rires odieux crissent contre lui, lui donnent envie de vomir, de s’enfuir.
Elliot est un animal piégé, mutilé - le regard hagard, prêt à jaillir, il s'amputerait d’une main, d’un bras s’il le fallait. Elliot aurait aimé les gens s’il n’était pas lui. Il aurait aimé les voir aimer, se faire aimer. Il aurait espéré comme un chien espère le retour de son maître, après s’être fait jeter au bord de la route. Il aurait attendu couché, sous la pluie, sous la neige, serait mort là, dans l’attente d’un retour qui ne viendra pas, où alors qu’il n’aurait pas pu attendre si longtemps. Le pathétisme dans son regard fait peine à voir quand il se débat et lève la voix. Elliot n’a pas d’ego, juste l'instinct d’une bête (un animal) qui se traîne dans le fossé. Il est envieux des autres, de leurs joies, leur aisance avec autrui. S’imagine leur vie comme il voudrait avoir la sienne, s’imagine la vivre à leur place et s’enferme dans son esprit à lui. Il deviendrait fou à l’idée que lui aussi pourrait être aimé.
Il s’imagine crever plutôt qu’espérer.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
En savoir plus
- Histoire
- Fun facts
- Physique
- Questions
Naissance : Il est né malformé, de ces maladies d'enfant qui n'en touche que deux sur cent
censé être une surprise de découvrir, à la naissance
quel genre de bambin aurait pu être celui-ci
on ne s'est écriée de splendeur, plutôt
un haut-le-cœur, il était répugnant -
moite encore des entrailles de sa mère, rougis, bouffis, agitant une jambe
rabougrie
elle n'en voulait pas, pas celui-la
à lui refuser de boire le lait, elle ne le pris qu'à bout de bras
oh si elle avait pu, elle l'aurait jeté , l'enfant n'était de son fait (elle, ne faisait que du beau, lui était bien trop laid)
Elle est parti alors aux bras
d'on ne sait qui on ne sait où
a laissé amant, enfant et(le dernier rejeté)
sans même y repenser -
un - sept ans : d'élever ce garçon coûtait bonbon
une bouche à nourrir, un corps à
rectifier, il était
un puits dans lequel son père devait, oui, se jeter,
alors pour payer, il fallait s'user la moelle jusqu'en tomber.
le travail cumulé ne lui permettait pas de le voir vraiment (seulement quelques fois par mois),
juste des dépenses assurer -
l'on pouvait compter sur Audrey pour nourrir, blanchir l'enfant
oh, mais à sept ans on n'est pas fait pour des autres s'occuper,
Audrey été l'exception
il semblait,
la maturité exaltée dans
un esprit qui ne demandait qu'à être une enfant,
finalement -
sept ans : il est étrange ce jour,
où l'on vint les chercher, pour Elliot, des gens arrivées d'il ne sait où
sont venu les réclamer pour négligence
il paraît.
peut-être étaient-ce les arrivées tardives du père le soir
ou les habits usés des enfants,
la gamine qui faisait office de mère (quand mamie n'était pas là),
vu souvent fuir l'école (mais mamie oublie parfois)
pour veiller sur ce petit gars,
les cris parfois lourds du père à bout,
les pleurs sourds du bout de chou,
peut-être est-ce ça qui a alerté les voisins ?
peut-être est ce pour ça qu'on a fait venir ces gens-là -
sept - onze ans : Elliot les maudit ceux-là,
ceux qui l'ont emmené à l'orphelinat
(et son père qui ne s'est pas montré)
qui ont promis une nouvelle famille (une nouvelle maison)
l'enfer plutôt,
sa sœur qui s'enfuit (toujours rattrapé) alors qu'elle ne plaît pas (trop âgée pour être aimée ?)
et lui qui ne veut pas la quitter crie;
on est incapable de l'apaiser,
on ne sait pas comment le gérer -
il est turbulent (torrent) alors on l'isole,
et cet isolement qu'on force engendre
humiliations :
insectes dans les draps, de terre
l'assiette saupoudrée,
croche-pieds à la volée,
insultes à mots d'enfant, rabaissant.
Elliot ne sait pas comment
réagir face à ça.
il mord, crie, crache
attaque enfants, attaque soignants
( qu'on le laisse seul (par pitié) ramenez-le d'où vous l'avez trouvé )
personne ne sait comment de ce cercle vicieux se dépêtrer,
alors Audrey lui promet, ils partiront tous les deux et seront
heureux -
onze - quinze ans : il redoutait le jour où Audrey devrait s'en aller
(le voilà ce jour venu, finalement)
une délivrance pour elle, comme une angoisse nouvelle;
ils étaient nourris, logés ici,
pouvaient être à deux
mais en dehors de ses murs, elle sait qu'elle ne pourrait pas assumer (pour eux)
c’est de patience qu'il faut s'armer, alors
elle lui dit "je reviendrai", il a peur, lui
qu'elle ne revienne pas, qu'elle le laisse là
mais il lui faut demeurer ici, encore, le temps
qu’elle puisse trouver
un moyen de l’extirper d'ici -
quinze - dix-sept ans : l'appartement est pourri, les murs moisis mais
au moins sont-ils deux à tenir la barque,
Audrey travaille par-ci par-là, prend des cours
le soir.
l'école n'est pas faite pour lui, Elliot est
un cancre
influencé par qui il côtoie, il est
mauvais,
on le craint dans sa classe. il prend ce qu'il veut, bouscule dans les couloirs, menaçant.
dans les tramways dans la rue, il se faufile et revend ce qui lui tombe sous la main
on l'attrape parfois à trop faire le malin, un temps il se fait
redresser
Et
un soir qu'il rentre des courses,
elle
n'est plus là -
dix-sept ans : les flics ne l'ont pas écouté quand il s'est précipité vers eux,
suppliant de retrouver Audrey, ils ne se sont pas bousculés ;
il a insisté, prié, rien n'y fait,
il a cherché de l'aide ailleurs, on lui a dit que ça arrivait parfois,
que c'était la faute à ceux qui se cachent, qu'il fallait se méfier,
il devait se débrouiller s’il voulait retrouver Audrey -
aujourd'hui : il a déménagé pour un endroit partagé à Caerleon,
aux études il a tiré un trait, plutôt
il a appris à bidouiller avec ce qu'il avait;
des radios, des téléphones, sur les ordinateurs il cherche
ce qui se cache un peu partout,
il épie, se triture l’esprit avec des informations qui lui coulent entre les doigts,
il ne sait pas comment faire et
survivre lui prend trop de temps
pourtant
ose-t-il croire qu’il la retrouverait ?
(((pourrait-il lutter ?)))
censé être une surprise de découvrir, à la naissance
quel genre de bambin aurait pu être celui-ci
on ne s'est écriée de splendeur, plutôt
un haut-le-cœur, il était répugnant -
moite encore des entrailles de sa mère, rougis, bouffis, agitant une jambe
rabougrie
elle n'en voulait pas, pas celui-la
à lui refuser de boire le lait, elle ne le pris qu'à bout de bras
oh si elle avait pu, elle l'aurait jeté , l'enfant n'était de son fait (elle, ne faisait que du beau, lui était bien trop laid)
Elle est parti alors aux bras
d'on ne sait qui on ne sait où
a laissé amant, enfant et
sans même y repenser -
un - sept ans : d'élever ce garçon coûtait bonbon
une bouche à nourrir, un corps à
rectifier, il était
un puits dans lequel son père devait, oui, se jeter,
alors pour payer, il fallait s'user la moelle jusqu'en tomber.
le travail cumulé ne lui permettait pas de le voir vraiment (seulement quelques fois par mois),
juste des dépenses assurer -
l'on pouvait compter sur Audrey pour nourrir, blanchir l'enfant
oh, mais à sept ans on n'est pas fait pour des autres s'occuper,
Audrey été l'exception
il semblait,
la maturité exaltée dans
un esprit qui ne demandait qu'à être une enfant,
finalement -
sept ans : il est étrange ce jour,
où l'on vint les chercher, pour Elliot, des gens arrivées d'il ne sait où
sont venu les réclamer pour négligence
il paraît.
peut-être étaient-ce les arrivées tardives du père le soir
ou les habits usés des enfants,
la gamine qui faisait office de mère (quand mamie n'était pas là),
vu souvent fuir l'école (mais mamie oublie parfois)
pour veiller sur ce petit gars,
les cris parfois lourds du père à bout,
les pleurs sourds du bout de chou,
peut-être est-ce ça qui a alerté les voisins ?
peut-être est ce pour ça qu'on a fait venir ces gens-là -
sept - onze ans : Elliot les maudit ceux-là,
ceux qui l'ont emmené à l'orphelinat
(et son père qui ne s'est pas montré)
qui ont promis une nouvelle famille (une nouvelle maison)
l'enfer plutôt,
sa sœur qui s'enfuit (toujours rattrapé) alors qu'elle ne plaît pas (trop âgée pour être aimée ?)
et lui qui ne veut pas la quitter crie;
on est incapable de l'apaiser,
on ne sait pas comment le gérer -
il est turbulent (torrent) alors on l'isole,
et cet isolement qu'on force engendre
humiliations :
insectes dans les draps, de terre
l'assiette saupoudrée,
croche-pieds à la volée,
insultes à mots d'enfant, rabaissant.
Elliot ne sait pas comment
réagir face à ça.
il mord, crie, crache
attaque enfants, attaque soignants
( qu'on le laisse seul (par pitié) ramenez-le d'où vous l'avez trouvé )
personne ne sait comment de ce cercle vicieux se dépêtrer,
alors Audrey lui promet, ils partiront tous les deux et seront
heureux -
onze - quinze ans : il redoutait le jour où Audrey devrait s'en aller
(le voilà ce jour venu, finalement)
une délivrance pour elle, comme une angoisse nouvelle;
ils étaient nourris, logés ici,
pouvaient être à deux
mais en dehors de ses murs, elle sait qu'elle ne pourrait pas assumer (pour eux)
c’est de patience qu'il faut s'armer, alors
elle lui dit "je reviendrai", il a peur, lui
qu'elle ne revienne pas, qu'elle le laisse là
mais il lui faut demeurer ici, encore, le temps
qu’elle puisse trouver
un moyen de l’extirper d'ici -
quinze - dix-sept ans : l'appartement est pourri, les murs moisis mais
au moins sont-ils deux à tenir la barque,
Audrey travaille par-ci par-là, prend des cours
le soir.
l'école n'est pas faite pour lui, Elliot est
un cancre
influencé par qui il côtoie, il est
mauvais,
on le craint dans sa classe. il prend ce qu'il veut, bouscule dans les couloirs, menaçant.
dans les tramways dans la rue, il se faufile et revend ce qui lui tombe sous la main
on l'attrape parfois à trop faire le malin, un temps il se fait
redresser
Et
un soir qu'il rentre des courses,
elle
n'est plus là -
dix-sept ans : les flics ne l'ont pas écouté quand il s'est précipité vers eux,
suppliant de retrouver Audrey, ils ne se sont pas bousculés ;
il a insisté, prié, rien n'y fait,
il a cherché de l'aide ailleurs, on lui a dit que ça arrivait parfois,
que c'était la faute à ceux qui se cachent, qu'il fallait se méfier,
il devait se débrouiller s’il voulait retrouver Audrey -
aujourd'hui : il a déménagé pour un endroit partagé à Caerleon,
aux études il a tiré un trait, plutôt
il a appris à bidouiller avec ce qu'il avait;
des radios, des téléphones, sur les ordinateurs il cherche
ce qui se cache un peu partout,
il épie, se triture l’esprit avec des informations qui lui coulent entre les doigts,
il ne sait pas comment faire et
survivre lui prend trop de temps
pourtant
ose-t-il croire qu’il la retrouverait ?
(((pourrait-il lutter ?)))
a du mal avec le second degré × c’est lui qui met les stickers bizarre sur les poteaux dans la rue × vie dans une collocation avec des gens dont il retient à peine les noms × y’a des post-it partout dans sa chambre × parle trop fort ou pas assez × s’il arrête de bouger les jambes il explose × du mal à rester en place × fight or die kind of response × utilisez des mots un peu compliqué et connectez 2 fait de façon vaguement cohérente et il vous croit × gratte la basse et est plutôt doué × pourrait jouer dans un groupe de musique voir vivre de ça s'il s'y dédiait × rarement les thunes pour se soigner × s’il gérait mieux son argent aussi il aurait moins de soucis × il a un télescope rangé à la râche dans un coin de sa chambre × n’observe pas que les étoiles avec × jamais vraiment sorti de sa phase d’emo edgy × aimerait être plus doux et posé × petit niveau en graff à force de vandaliser les stores des magasins × malgré son corps de lâche il est largement capable d’échapper aux flics de quartier (quand sa prothèse de mort veut bien coopérer) × aime pas la sensation du vernis sur les ongles (il est bien deg d’ailleurs) × aimerait bien se faire tatouer mais à pas les thunes × hyperlaxe × aime trop la bouffe épicés (ça arrache la gueule c'est abusé) × faisait du strabisme quand il était petit × il a essayé de dessiné une tête de mort sur son patch × il a fini par tout colorier en noir parce que c’était raté × pensée intrusive de mise en danger (de lui-même) × a peur du noir complet et des endroits clos × son pseudo sur les internets c’est snametr (oui il a smash le clavier) × très nothing in life matter /neg quand il a bu × faisait la collection de plume d’oiseau durant toute la période où il vivait à l’orphelinat × n’en a plus que quelques unes maintenant × aime les choses douces au touché × gros fan de peluches d'animaux × croit aux fantômes et aux extraterrestres × ne croit pas au karma × agnostique × lit beaucoup - pas forcément les bonnes choses × fait souvent craquer ses doigts (ça fait un bruit ignoble) × du mal à expliquer ses pensées × les explique pas du coup × l'idée de la mort et du vide (espace) le tient trop souvent éveillé la nuit × “ahah non j'suis pas stressé pk tu dis ça ?” sue à grosses gouttes × les mains moites durant les saisons chaudes c’est l’enfer × la définition même du gars qui écoute de tout × sa playlist c'est autant la caverne d'alibaba qu'un bordel sans nom × les activités manuelles l'aide à se canaliser × les bananes c'est dégueu × allergique aux pommes ×
prothèse à la jambe gauche (moignon au-dessus du genou dû à une malformation à la naissance) × cheveux blond/gris cendré à l'aspect poussiéreux, abondant × pourrait être doux/brillant s’il se lavait avec autre chose que des gel douche 14 en 1 × jamais discipliné mais dit que c’est pour le style (on le traite de gros mytho) × de beaux yeux verts sarcelle (ce qu’il aime le plus chez lui) × bronze comme s’il passait ses journées aux champs × est plein de grains de beauté (il les déteste) × a besoin de lunette de correction (astigmate) mais il aime pas en porter × préfère être une taupe du coup (lentilles ?? kécécé ??) × c’est pour ça qu’il a toujours l’air renfrogné, il y voit pas grand chose en vrai × sent la poussière ou le chewing-gum fraise en sortant de la douche × entre les deux c’est odeur lessive bon marché × l’énergie d’un jack russel mais le charisme d’un shih tzu mouillé × grunge esthétique d’un ado de 16 ans × physique de lâche × met du maquillage sombre aux yeux pour avoir un air ténébreux (les habitués du make-up remarquent) × des piercings partout aux oreilles, la plupart fait maison (on se demande comment il a évité l’infection générale) × toujours des bandages aux mains ou des pansements sur la gueule × la posture vouté comme pour éviter de se manger un plafond trop bas × imberbe × les cils trop long pour un garçon × regarde jamais trop longtemps dans les yeux × les doigts super fins et longs × mais tout tordus aussi × rougis super vite (d’embarras, de colère…) × cicatrice épaisse derrière l'oreille gauche qu'il couvre avec ses cheveux ×
Quel est votre niveau de connaissance vis-à-vis des lignées ? Quelle est votre opinion sur ces dernières ? Bien loin de se douter de ce qu’elles sont réellement, Elliot a dans l’idée qu’il existe une sorte d’organisation supérieure qui contrôlerait l’Arceau depuis un lieu tenu secret et que la poignée d'individus composant cette organisation serait ceux qui auraient fomenté l’enlèvement de sa sœur. Son estime du gouvernement de l’Arceau est donc assez basse.
Un souvenir qui vous est cher ? Il se souvient des fois où son père les a emmenées pique-niquer au bord de l'eau, c'était l'après-midi passé à patauger et tremper les hauts, faire des ricochets et chercher les écrevisses sous les galets. Des morceaux de souvenirs futiles qui perlent quand ça lui remonte aux yeux.
Par quelles compétences vous illustrez-vous (technologiques, intellectuelles, physiques, humaines, etc.) ? MacGyver 2.3, il peut bidouiller des trucs improbables mais utiles avec du grillage à poule et des boîtes de conserve. Compétence rudimentaire en hacking et collecte d'informations (aka stalking/cyberstalking). Il fait un super-bon chili con carne aussi - attention ça arrache.
Votre pire cauchemar ? Devenir comme son père; découvrir que sa sœur est morte; mourir de suffocation (ou quelconque façon qui ne serait pas naturelle); que des produits lui soient administrés à son insu.
Utilisez-vous souvent DysCord ? Oui, tout le temps.
Avez-vous des projets, des ambitions, pour le futur ? Révéler au grand jour les secrets cachés du gouvernement; retrouver sa sœur; trouver qui est sa mère.
Souhaitez-vous explorer la Mer d’Albâtre ? Si votre parcours vous y a déjà mené, quelles furent vos impressions de cette étendue ? En théorie oui, il est convaincu que beaucoup de choses y sont cachées et que ceux qui gouvernent ne veulent rien dire au grand public pour les manipuler et leur empêcher d'avoir plus d’autonomie. En vrai, il aurait certainement la giga trouille de monter dans un de ces machins pour explorer.
Pseudonyme
ababaPronoms
Elle/sheSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Je souhaite participer activement.Autre chose à rajouter ?
toujours on fait les choses pas obligatoires en premier et le reste vient en dernier. sinon le fo est tres jolie je suis chockbar de la fonction générer une fiche c fou