description
Edgar
45 ans
173cm
Homme cis
Il/Lui
Projectionniste au CinéMaX
Pas de lignée
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
Y a pas à dire, quand ça veut pas, ça veut pas. Je pense qu’on peut résumer ma vie à ces quelques mots. J’étais pourtant bien parti fut un temps : j’étais le petit génie de ma classe chaque année jusqu'à la fac. Ça m’a valu quelques mises en poubelle et peu de succès en amour avant d’arrêter les études mais j’aimais bien me dire qu’après le lycée, ces idiots finiraient leurs jours à faire de la pâte pour un salaire de misère chez Pizza King (l’ancien O’Pizza pour les jeunes). Je suis devenu flic après tout ça.
Parce que oui, comme vous vous en doutez si vous saviez lire quand vous avez acheté le bouquin, vous lisez en ce moment l’autobiographie d’un ex-flic.
Après tout, il faut croire que s’enquiller l’intégralité des méthodes de contrefaçon et de cryptage ayant jamais vu le jour dans l’histoire de l’Arceau, au point de devenir le mec que les grands pontes appellent quand ça coince dans une enquête qui demande de réfléchir un peu, ça vous garantit pas la sécurité de l’emploi. C’était pourtant mon domaine, ma spécialité. J’aurais peut-être dû flairer le coup fourré. On m’a trainé devant la justice, mis face à des photos d’événements jamais arrivés, tout ça pour me faire passer pour un flic corrompu. C’était juste assez gros pour que le juge prenne ça au sérieux, et pas assez pour que ça fasse la une des médias, autant vous dire que j’ai pas passé les quelques années suivantes dans le meilleur des états.
J'ai gratté un peu de chômage, à peine assez de temps devant moi pour réfléchir à ce qui venait d’arriver, et juste ce qu’il fallait pour retrouver un boulot. Heureusement que je m’y connaissais un peu en cinéma grâce à ma mère et que bosser au commissariat m’avait donné une grande gueule, parce que le patron du CinéMaX m’a vraiment pris pour un passionné de vieux films d’auteur de l’Âge du Renouveau. Je les supporte pas. Certains font QUATRE HEURES de types qui regardent au loin l’air faussement profond. Je hais les films de Bertrand Aubergiste, mais grâce à lui j'ai pu trouver un job planqué où réfléchir à la suite et à comment me venger.
C’est là que je me suis rendu compte de la valeur de mon savoir. Quinze ans passés à étudier les messages codés, comment rendre une personne invisible aux yeux du système, comment rendre débile un distributeur de banque avec un tube de colle Ramses et un stylo-bille… j’ai complètement changé ma dégaine, ai créé une réputation dans tous les bars de la ville à mon alter ego de poivrot braillard... C’était dingue, je m’étais transformé en cinq ans en une autre personne que la police ne captait même pas !
Mais entre nous, on sait que vous êtes là pour ce qui suit. Ça commence à la page d’après, si ça vous dit de la tourner.
Parce que oui, comme vous vous en doutez si vous saviez lire quand vous avez acheté le bouquin, vous lisez en ce moment l’autobiographie d’un ex-flic.
Après tout, il faut croire que s’enquiller l’intégralité des méthodes de contrefaçon et de cryptage ayant jamais vu le jour dans l’histoire de l’Arceau, au point de devenir le mec que les grands pontes appellent quand ça coince dans une enquête qui demande de réfléchir un peu, ça vous garantit pas la sécurité de l’emploi. C’était pourtant mon domaine, ma spécialité. J’aurais peut-être dû flairer le coup fourré. On m’a trainé devant la justice, mis face à des photos d’événements jamais arrivés, tout ça pour me faire passer pour un flic corrompu. C’était juste assez gros pour que le juge prenne ça au sérieux, et pas assez pour que ça fasse la une des médias, autant vous dire que j’ai pas passé les quelques années suivantes dans le meilleur des états.
J'ai gratté un peu de chômage, à peine assez de temps devant moi pour réfléchir à ce qui venait d’arriver, et juste ce qu’il fallait pour retrouver un boulot. Heureusement que je m’y connaissais un peu en cinéma grâce à ma mère et que bosser au commissariat m’avait donné une grande gueule, parce que le patron du CinéMaX m’a vraiment pris pour un passionné de vieux films d’auteur de l’Âge du Renouveau. Je les supporte pas. Certains font QUATRE HEURES de types qui regardent au loin l’air faussement profond. Je hais les films de Bertrand Aubergiste, mais grâce à lui j'ai pu trouver un job planqué où réfléchir à la suite et à comment me venger.
C’est là que je me suis rendu compte de la valeur de mon savoir. Quinze ans passés à étudier les messages codés, comment rendre une personne invisible aux yeux du système, comment rendre débile un distributeur de banque avec un tube de colle Ramses et un stylo-bille… j’ai complètement changé ma dégaine, ai créé une réputation dans tous les bars de la ville à mon alter ego de poivrot braillard... C’était dingue, je m’étais transformé en cinq ans en une autre personne que la police ne captait même pas !
Mais entre nous, on sait que vous êtes là pour ce qui suit. Ça commence à la page d’après, si ça vous dit de la tourner.
-Petits Poliçons, Préambule par Edgar XXXX, achevé d'imprimer xx/xx/60x
Edgar est une sorte de flacon de vinaigre, le genre de vinaigre qui était sans doute autrefois une bonne bouteille. Mais si le produit de base promettait sans doute d'être un grand cru, on l'a pourtant laissé tourner dans la cave quelques années de trop.
C'est un bosseur, avec un esprit acéré à n'en pas douter. Ce n'est pas tant par un quelconque talent intellectuel qu'il brille, mais bel et bien par sa détermination presque obsessive qui le bénit autant qu'elle ne le maudit. Là où certains cherchent à enterrer leurs faiblesses physiques, lui cherche à combler celles de son cerveau afin de ne jamais être pris au dépourvu. Sciences, arts, philosophie, s’il peut s’équiper de nouvelles armes, il le fera, parce que rien ne lui a jamais fait dire qu’il était suffisamment préparé pour se battre contre la vie.
C’est un esprit tourmenté qui cherche la paix sans réellement savoir à quoi ressemble la sienne. Ses années formatrices se sont faites dans une solitude qu’il veut maladivement éviter sans pour autant se sentir prêt à faire confiance à autrui. Même alors qu’il pensait s’être trouvé un cercle social qui lui inspirait la sécurité, l’univers s’était visiblement accordé sur le fait de donner raison à ses instincts les plus profonds, à le renvoyer dans cette spirale de méfiance vis-à-vis de l’être humain.
C’est un type paumé, qui voit et cherche le conflit un peu partout autour de lui pour se rassurer sur ses propres convictions. De sa barbe à sa tenue en passant par son ton irrévérencieux, tout chez lui est le produit d’une fuite en avant par peur de souffrir avant-même d’avoir songé à l’idée qu’il s’en sortira bien. Edgar aura beau rationnaliser tout ceci, il est le premier témoin de ses propres mensonges et s’obstine à le nier.
C'est un bosseur, avec un esprit acéré à n'en pas douter. Ce n'est pas tant par un quelconque talent intellectuel qu'il brille, mais bel et bien par sa détermination presque obsessive qui le bénit autant qu'elle ne le maudit. Là où certains cherchent à enterrer leurs faiblesses physiques, lui cherche à combler celles de son cerveau afin de ne jamais être pris au dépourvu. Sciences, arts, philosophie, s’il peut s’équiper de nouvelles armes, il le fera, parce que rien ne lui a jamais fait dire qu’il était suffisamment préparé pour se battre contre la vie.
C’est un esprit tourmenté qui cherche la paix sans réellement savoir à quoi ressemble la sienne. Ses années formatrices se sont faites dans une solitude qu’il veut maladivement éviter sans pour autant se sentir prêt à faire confiance à autrui. Même alors qu’il pensait s’être trouvé un cercle social qui lui inspirait la sécurité, l’univers s’était visiblement accordé sur le fait de donner raison à ses instincts les plus profonds, à le renvoyer dans cette spirale de méfiance vis-à-vis de l’être humain.
C’est un type paumé, qui voit et cherche le conflit un peu partout autour de lui pour se rassurer sur ses propres convictions. De sa barbe à sa tenue en passant par son ton irrévérencieux, tout chez lui est le produit d’une fuite en avant par peur de souffrir avant-même d’avoir songé à l’idée qu’il s’en sortira bien. Edgar aura beau rationnaliser tout ceci, il est le premier témoin de ses propres mensonges et s’obstine à le nier.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
En savoir plus
- Fun facts
- Physique
- Questions
-Empreintes digitales effacées.
-Possède un dégausseur de disque dur.
-Dispose d'un escadron d'avions en papier annotés d'un "nique la police" marqué au feutre noir qu'il envoie à chaque nouvel an sur le commissariat.
-Sans le savoir, a refusé de rejoindre les Équilibres, ce qui lui a coûté son job.
-Possède un dégausseur de disque dur.
-Dispose d'un escadron d'avions en papier annotés d'un "nique la police" marqué au feutre noir qu'il envoie à chaque nouvel an sur le commissariat.
-Sans le savoir, a refusé de rejoindre les Équilibres, ce qui lui a coûté son job.
De taille moyenne, les cheveux bruns et les yeux marron. Un regard partagé entre l'épuisement, la frustration et la méfiance. Une calvitie qui épargne encore un temps sa coupe de cheveux et un ventre qui lui fait regretter le temps où son corps était uniformément svelte. Des rouflaquettes qu'il qualifie souvent de "démoniaques".
Le jour, son uniforme de boulot, un polo noir qui ne cache pas assez son ventre à son goût et un pantalon gris trop slim. Une paire de baskets grises confortables mais un peu usées.
Le soir, des vestes et chemises colorées, du maquillage appliqué de manière correcte mais pas exceptionnelle au moins une fois par mois pour les soirées drag du Fortuna. Un chino d'une couleur aléatoire, encore trop slim.
Le jour, son uniforme de boulot, un polo noir qui ne cache pas assez son ventre à son goût et un pantalon gris trop slim. Une paire de baskets grises confortables mais un peu usées.
Le soir, des vestes et chemises colorées, du maquillage appliqué de manière correcte mais pas exceptionnelle au moins une fois par mois pour les soirées drag du Fortuna. Un chino d'une couleur aléatoire, encore trop slim.
Avez-vous choisi de vous-même de rallier votre lignée ? Si oui, pourquoi ? Si non, dans quelles circonstances votre adhésion s’est-elle faite ? Rallier sa quoi ?
Quel est votre niveau de connaissance vis-à-vis des lignées ? Quelle est votre opinion sur ces dernières ? Un type lui a parlé d'équilibre ou un truc du style, il a dit qu'il était pas intéressé, il a fini au chômage. Peut-être un truc à creuser...
Un souvenir qui vous est cher ? Les soirées cinéma avec sa mère. Elle essayait de se rendre disponible au moins une fois par semaine pour voir un film des années 550 sur leur projecteur.
Par quelles compétences vous illustrez-vous (technologiques, intellectuelles, physiques, humaines, etc.) ? Tout ce qui touche de près ou de loin à la fraude, la falsification et aux messages codés et cryptés relève de l'expertise professionnelle d'Edgar. C'est aussi un grand cinéphile et un acteur suffisamment doué pour parfaitement masquer ses intentions auprès de personnes lambda.
Plutôt compote d’insectes, canard laqué cultivé ou steak de durian délicatement fumé au maroilles ? Le steak mais juste pour le maroilles.
Votre pire cauchemar ? Échouer à se venger de la police.
Utilisez-vous souvent DysCord ? En cybercafé uniquement, avec un mail fait dans ce même cybercafé.
Un secret inavouable ? Préparer un coup contre la police c'est déjà pas mal non ?
Avez-vous des projets, des ambitions, pour le futur ? Se venger, publier une autobiographie pour témoigner de son histoire.
Souhaitez-vous explorer la Mer d’Albâtre ? Si votre parcours vous y a déjà mené, quelles furent vos impressions de cette étendue ? Enfant, il a déjà contemplé l'idée de partir sonder ses secrets. Aujourd'hui, son attention est trop tournée vers l'intérieur de l'Arceau.
Pseudonyme
MrWallacePronoms
Il/LuiSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Très certainement, oui !Autre chose à rajouter ?
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