description
Maggie
23 ans
155 centimètres
Féminin
She/her
Herboriste (le jour) & Fabricante et marchande de poisons (la nuit)
Pas de lignée
Identité
- Histoire
- Caractère
- Caractéristiques
Tu n'as jamais connu ton père et cela te soulage. Au moins, lui ne te manque pas. Celle qui te manque Maggie, c'est ta Maman.
Vous viviez perchées dans un petit appartement au sommet d'une des tours de béton de l'Avoué. Elle s'était appliquée à faire de l'intérieur une sorte de cocon. Une agréable lumière tamisée s'échappait de petites lampes et de guirlandes suspendues. Des rideaux fleuris encadraient les étroites fenêtres. Au mur, des photographies et des dessins. Et puis les plantes. Certaines, accrochées au plafond, s'écoulant en cascades le long des meubles ; d'autres reposant sur diverses surfaces, voire directement sur le sol dans des vases dépareillés. Elle les appelait vos "discrètes colocataires" et te répétait qu'elles veillaient sur toi.
Tout avait basculé l'année de ton dixième anniversaire. Tu n'avais d'abord pas compris la nature du mal qui commençait à la ronger. On répétait que "c'était pas de chance", parlant d'une "rare maladie" et de traitements "trop coûteux". Elle évolua vite, cette maladie, trop vite. Quelques mois plus tard, Maman quittait ton monde pour de bon.
Les années passèrent. Tu souffrais Maggie, tu étais en colère. Tu avais compris pourquoi elle n'avait pu obtenir les soins dont elle avait besoin. Tu avais découvert comment la société autour de toi fonctionnait. Les rouages mesquins qui s'emboîtaient pour produire les pires injustices. Les Vivias avaient manqué. Après tout, il n'y avait pas de hasard si vous habitiez l'Avoué.
Tu ne connais que l'Arceau. Cette île représente tout ton univers. Et tout cet univers est corrompu. Les êtres de ton espèce ne valent pas la peine. Iels t'ont arraché ta plus précieuse alliée en ce monde. Les seules qui comptent pour toi Maggie, ce sont tes "discrètes colocataires". Tu te tournas naturellement vers l'herboristerie. Les Arcéen·nes acceptaient de soigner sous conditions ? Qu'il en soit ainsi, les plantes, elles, ne faisaient aucune distinction. Elles détenaient le pouvoir de vie et de mort sur les humain·es, sans que celleux-ci ne soupçonnent même leur véritable puissance. Toi, tu percevais en elles cette supériorité presque divine. Elles étaient les sauveuses qu'une mère et la petite fille de dix ans à son chevet avaient espéré en vain.
Tu parvins à les maîtriser. Désormais, tu exerces ton métier au grand jour, du moins la partie visible. La morale est un concept qui te paraît flou, voire étranger. Après tout, il n'y en avait pas eu lorsque Maman est morte. Tu t'appliques simplement à développer tout leur potentiel, que ce soit pour le meilleur, ou pour le pire. Soigner ou empoisonner ? C'est une facette de leur nature, qui es-tu pour la réprimer ? Une fois les potions interdites concoctées, tu t'enfonces avec entrain dans les galeries souterraines. Tu connais le système désormais. Lorsque tu remontes à la surface, les poches remplies de Vivias, c'est avec un sourire aux lèvres et un air chantonnant que tu vas pour retrouver ton cocon perché.
Vous viviez perchées dans un petit appartement au sommet d'une des tours de béton de l'Avoué. Elle s'était appliquée à faire de l'intérieur une sorte de cocon. Une agréable lumière tamisée s'échappait de petites lampes et de guirlandes suspendues. Des rideaux fleuris encadraient les étroites fenêtres. Au mur, des photographies et des dessins. Et puis les plantes. Certaines, accrochées au plafond, s'écoulant en cascades le long des meubles ; d'autres reposant sur diverses surfaces, voire directement sur le sol dans des vases dépareillés. Elle les appelait vos "discrètes colocataires" et te répétait qu'elles veillaient sur toi.
Tout avait basculé l'année de ton dixième anniversaire. Tu n'avais d'abord pas compris la nature du mal qui commençait à la ronger. On répétait que "c'était pas de chance", parlant d'une "rare maladie" et de traitements "trop coûteux". Elle évolua vite, cette maladie, trop vite. Quelques mois plus tard, Maman quittait ton monde pour de bon.
Les années passèrent. Tu souffrais Maggie, tu étais en colère. Tu avais compris pourquoi elle n'avait pu obtenir les soins dont elle avait besoin. Tu avais découvert comment la société autour de toi fonctionnait. Les rouages mesquins qui s'emboîtaient pour produire les pires injustices. Les Vivias avaient manqué. Après tout, il n'y avait pas de hasard si vous habitiez l'Avoué.
Tu ne connais que l'Arceau. Cette île représente tout ton univers. Et tout cet univers est corrompu. Les êtres de ton espèce ne valent pas la peine. Iels t'ont arraché ta plus précieuse alliée en ce monde. Les seules qui comptent pour toi Maggie, ce sont tes "discrètes colocataires". Tu te tournas naturellement vers l'herboristerie. Les Arcéen·nes acceptaient de soigner sous conditions ? Qu'il en soit ainsi, les plantes, elles, ne faisaient aucune distinction. Elles détenaient le pouvoir de vie et de mort sur les humain·es, sans que celleux-ci ne soupçonnent même leur véritable puissance. Toi, tu percevais en elles cette supériorité presque divine. Elles étaient les sauveuses qu'une mère et la petite fille de dix ans à son chevet avaient espéré en vain.
Tu parvins à les maîtriser. Désormais, tu exerces ton métier au grand jour, du moins la partie visible. La morale est un concept qui te paraît flou, voire étranger. Après tout, il n'y en avait pas eu lorsque Maman est morte. Tu t'appliques simplement à développer tout leur potentiel, que ce soit pour le meilleur, ou pour le pire. Soigner ou empoisonner ? C'est une facette de leur nature, qui es-tu pour la réprimer ? Une fois les potions interdites concoctées, tu t'enfonces avec entrain dans les galeries souterraines. Tu connais le système désormais. Lorsque tu remontes à la surface, les poches remplies de Vivias, c'est avec un sourire aux lèvres et un air chantonnant que tu vas pour retrouver ton cocon perché.
- A première vue, tu es Maggie l'inoffensive. L'image même de la douceur et de la bienveillance. Chaleureuse avec les client·es qui pénètrent ta boutique, tu prodigues tes conseils avec un sourire radieux. Innocente l'herboriste aux boucles rousses de l'Avoué, celle qui murmure tendrement à ses plantes comme à de vieilles amies !
- Dans tes relations avec autrui, tu sais être une oreille attentive auprès de celleux qui en ont besoin. (En vérité, tu prends un certain plaisir à connaître les histoires des autres. Mais tu ne laisses rien paraître, cachée derrière ton sourire affectueux. Tu ne collectes pas ces informations dans le but de nuire, oh non. Simplement car elles te divertissent.)
- Il est facile d'initier avec toi un premier contact, du moment que l'échange se limite à quelques mots superficiels. Mais c'est lorsqu'iels tentent de t'approcher davantage que tu instaures entre vous une distance. Insaisissable. Tu ne parviens pas à t'attacher intimement à un autre être, à moins qu'il ne soit d'origine végétale. Après tout, les plantes, elles, te comprennent. Ne te blesseront pas. A tes yeux, elles incarnent une perfection absolue, bien au-delà de celle des humains.
- Perdue dans ton monde et tes pensées, il est fréquent d'entretenir avec toi une conversation décousue. Déconnectée de la réalité, tu es la reine des rendez-vous manqués, des messages Dyscord laissés sans réponse. Changer brusquement de sujet, répondre à côté ou prendre chaque mot au pied de la lettre ; ta manière d'interpréter l'univers autour de toi affecte tes interactions sociales. Cela dit, tu n'en es pas consciente et les rencontres fortuites ne t'effraient pas, au contraire. Chaque Arcéen·ne représente à tes yeux un cobaye potentiel pour tes expérimentations. Qu'il est exaltant de pouvoir tester de nouvelles bricoles sur des sujets organiques !
- Susceptible, tu reçois très mal la critique et peux vite devenir rancunière, jusqu'à ce qu'une pensée distrayante fasse irruption dans ton esprit et que tu finisses, alors, par oublier la rancœur qui t'habitait un instant auparavant.
- Lorsqu'il est temps pour toi de t'enfoncer sous terre et de prendre part à tes activités nocturnes, tu fais preuve d'une intense concentration. A l'heure où il te faut au préalable concocter potions dangereuses et poisons (pour ensuite t'aventurer dans les souterrains où les marchander), c'est presque en transe que tu entres. Il n'est pas rare que t'échappent alors quelques rires étouffés et murmures incompréhensibles, dont toi seule semble comprendre l'élément déclencheur.
- Dans tes relations avec autrui, tu sais être une oreille attentive auprès de celleux qui en ont besoin. (En vérité, tu prends un certain plaisir à connaître les histoires des autres. Mais tu ne laisses rien paraître, cachée derrière ton sourire affectueux. Tu ne collectes pas ces informations dans le but de nuire, oh non. Simplement car elles te divertissent.)
- Il est facile d'initier avec toi un premier contact, du moment que l'échange se limite à quelques mots superficiels. Mais c'est lorsqu'iels tentent de t'approcher davantage que tu instaures entre vous une distance. Insaisissable. Tu ne parviens pas à t'attacher intimement à un autre être, à moins qu'il ne soit d'origine végétale. Après tout, les plantes, elles, te comprennent. Ne te blesseront pas. A tes yeux, elles incarnent une perfection absolue, bien au-delà de celle des humains.
- Perdue dans ton monde et tes pensées, il est fréquent d'entretenir avec toi une conversation décousue. Déconnectée de la réalité, tu es la reine des rendez-vous manqués, des messages Dyscord laissés sans réponse. Changer brusquement de sujet, répondre à côté ou prendre chaque mot au pied de la lettre ; ta manière d'interpréter l'univers autour de toi affecte tes interactions sociales. Cela dit, tu n'en es pas consciente et les rencontres fortuites ne t'effraient pas, au contraire. Chaque Arcéen·ne représente à tes yeux un cobaye potentiel pour tes expérimentations. Qu'il est exaltant de pouvoir tester de nouvelles bricoles sur des sujets organiques !
- Susceptible, tu reçois très mal la critique et peux vite devenir rancunière, jusqu'à ce qu'une pensée distrayante fasse irruption dans ton esprit et que tu finisses, alors, par oublier la rancœur qui t'habitait un instant auparavant.
- Lorsqu'il est temps pour toi de t'enfoncer sous terre et de prendre part à tes activités nocturnes, tu fais preuve d'une intense concentration. A l'heure où il te faut au préalable concocter potions dangereuses et poisons (pour ensuite t'aventurer dans les souterrains où les marchander), c'est presque en transe que tu entres. Il n'est pas rare que t'échappent alors quelques rires étouffés et murmures incompréhensibles, dont toi seule semble comprendre l'élément déclencheur.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
En savoir plus
- Fun facts
- Physique
- Questions
parle souvent à ses plantes et leur chantonne des airs de son invention (Maggie est convaincue que leurs conversations les aident à grandir) — ne commence jamais une journée sans une tasse fumante de café et rêve de goûter au meilleur breuvage caféiné de tout l'Arceau — connaît de nombreuses anecdotes (souvent macabres) sur les plantes toxiques, qu'elle partage souvent (sans le vouloir) dans des situations inappropriées — ne s'aventure jamais dehors sans son petit carnet de croquis, prête à capturer la beauté d'une plante rencontrée en chemin — les champignons les plus biscornus sont toujours ses préférés — insomniaque (lorsqu'elle ne travaille pas de nuit, joue quelques notes de violon ou danse approximativement sur une mélodie inaudible) — tient une collection de graines de plantes rares — s'amuse à sculpter de petites figurines en bois qu'elle cache dans les pots de ses plantes ou dans les poches de celleux qu'elle croise — est persuadée de l'existence des fantômes — concocte des soupes avec des ingrédients étranges (Maggie pense que cuisine rime avec expérimentation, au grand dam de celleux qui doivent ensuite déguster ses préparations) — préfère les végétaux aux humains — crée ses propres parfums, initialement par souci d'économie, puis par hobby — connaît une potion spéciale à base de plantes capable de guérir la gueule de bois
Les boucles rousses qui couvrent ta tête te sont caractéristiques. Elles tombent en cascade sur tes épaules et adoptent des reflets dorés lorsque frappées par la lumière des deux soleils. Au travail, tu les relèves en un chignon défait, qui ne suffit pas à maîtriser cette chevelure rebelle. Deux mèches plus claires encadrent alors ton visage au teint laiteux. Le reste du temps, c'est les cheveux en bataille que tu te promènes. Après tout, eux comme toi ont besoin de liberté. Sur tes joues creuses fleurissent des taches de rousseur ; elles s'étendent au reste de ton visage, mais courent aussi le long de ton corps, ornant tes épaules, ton dos, tes bras. Lorsque tu ouvres les yeux, c'est un bronze, mélange de doré et de brun, dans lequel on plonge son regard. En ce qui concerne ta posture un peu voutée et tes douleurs quotidiennes au niveau du rachis, tu accuses le travail qui te force à te maintenir inclinée, mais il est davantage probable que tu souffres d'une scoliose non diagnostiquée. Tu ne t'en préoccupes pas outre-mesure, connaissant les herbes en capacité d'apaiser tes maux. A force de manipuler les plantes et leurs traîtres épines, tes mains et poignets sont rayés de griffures plus ou moins visibles. Tu n'en tiens pas compte à tes petites (ou grandes) protégées ; au contraire, tu accueilles leurs marques comme un moyen de ressentir physiquement leur énergie.
Tes vêtements évasés facilitent tes mouvements : que ce soit drapée d'une tunique ou vêtue d'une large chemise et d'un pantalon en toile, tes mots d'ordre sont "pratiques" et "confortables". Lorsque qu'il est l'heure pour toi de vaquer à tes occupations nocturnes et clandestines, tu enfiles une veste en laine et rabats sur ta chevelure flamboyante une capuche sombre. Malgré tes réticences, tu conserves dans ton petit sac à dos en cuir une paire de gants en tissu renforcé, consciente qu'il te faudra peut-être entrer en contact avec quelques végétaux toxiques. A tes pieds, des bottes en toile épaisse, usées par le temps. (Mais lorsque tu franchis le palier de ta maison, c'est une autre histoire : pour toi rien n'égale la sensation des pieds nus sur le sol !) Ta créativité, limitée par la nécessité d'une tenue fonctionnelle, s'exprime à travers tes accessoires. L'hiver, tu te pares de tes plus belles écharpes colorées (tricotées par tes soins) ; au printemps, tu tresses des fleurs dans tes cheveux. Le pendentif en forme de libellule pendu à ton cou, ta mère le portait autrefois. Jamais tu ne le quittes. Dans les moments difficiles, tu le sers entre tes mains aussi fort que possible, et alors, tu n'es plus aussi seule (en tout cas, c'est ce que tu crois).
Tes vêtements évasés facilitent tes mouvements : que ce soit drapée d'une tunique ou vêtue d'une large chemise et d'un pantalon en toile, tes mots d'ordre sont "pratiques" et "confortables". Lorsque qu'il est l'heure pour toi de vaquer à tes occupations nocturnes et clandestines, tu enfiles une veste en laine et rabats sur ta chevelure flamboyante une capuche sombre. Malgré tes réticences, tu conserves dans ton petit sac à dos en cuir une paire de gants en tissu renforcé, consciente qu'il te faudra peut-être entrer en contact avec quelques végétaux toxiques. A tes pieds, des bottes en toile épaisse, usées par le temps. (Mais lorsque tu franchis le palier de ta maison, c'est une autre histoire : pour toi rien n'égale la sensation des pieds nus sur le sol !) Ta créativité, limitée par la nécessité d'une tenue fonctionnelle, s'exprime à travers tes accessoires. L'hiver, tu te pares de tes plus belles écharpes colorées (tricotées par tes soins) ; au printemps, tu tresses des fleurs dans tes cheveux. Le pendentif en forme de libellule pendu à ton cou, ta mère le portait autrefois. Jamais tu ne le quittes. Dans les moments difficiles, tu le sers entre tes mains aussi fort que possible, et alors, tu n'es plus aussi seule (en tout cas, c'est ce que tu crois).
Quel est votre niveau de connaissance vis-à-vis des lignées ? Quelle est votre opinion sur ces dernières ? Honnêtement, tu n'y connais pas grand-chose, voire rien du tout. Ces lignées profitent-elles également du système que tu considères corrompu ? Y contribuent-elles, l'ont-elles même crée ? Cela t'importe peu. Après tout, rien n'a vraiment d'importance à tes yeux, excepté tes alliées végétales. Ce sont elles qui ont le pouvoir d'influencer le monde, et tu te soucies bien plus d'elles que de rumeurs insignifiantes.
Un souvenir qui vous est cher ? Le jour où ta Maman te fit cadeau de son pendentif en forme de libellule. Elle avait délicatement passé la fine cordelette autour de ton cou, tout en te murmurant doucement : "Tu es ma petite libellule." La toi d'autrefois n'avait pas compris que c'était là une part d'elle qu'elle te transmettait. Tu t'étais simplement demandé si, au lieu d'une libellule, tu n'aurais pas pu avoir une coccinelle ou une fleur jaune. Aujourd'hui, ce collier est devenu une preuve tangible de son amour, un moyen de garder une part d'elle près de toi. C'est aussi un rappel poignant de l'injustice qui vous a séparées.
Plutôt compote d’insectes, canard laqué cultivé ou steak de durian délicatement fumé au maroilles ? Une compote d'insectes ? Miam !
Utilisez-vous souvent DysCord ? Souvent est un bien grand mot pour décrire l'usage que tu en fais. Si seulement le message pouvait s'écrire et s'envoyer tout seul dès que la notification arrive, étant donné que tu oublies cette dernière presque aussitôt reçue... Disons que c'est un outil amusant, quand tu penses à t'en servir !
Un secret inavouable ? Ton intérêt pour le violon. Tu apprécies la sensation de tes doigts glissant sur les cordes et l' écho des sons qui en émergent, sans toutefois avoir appris à t'en servir convenablement. Loin de toi l'envie d'être jugée. Lorsqu'il s'agit de conseiller des herbes ou des remèdes, tu es pleinement à l'aise car te sais compétente. En revanche, ton attrait pour la musique demeure un hobby secret, que tu ne t'autorises qu'à l'abri des regards indiscrets.
Avez-vous des projets, des ambitions, pour le futur ? Pleinement ancrée dans le moment présent, tu ne te poses, à vrai dire, jamais de questions concernant l'avenir. Bien que tu rêves beaucoup (même lorsque tu es éveillée), ces rêves ne sont pas des objectifs à atteindre ; ils façonnent simplement ton quotidien. Quotidien, comme un sommeil perpétuel, peuplé de pensées étranges, de rires inexplicables et de paysages mentaux dans lesquels tu vagabondes.
Souhaitez-vous explorer la Mer d’Albâtre ? Si votre parcours vous y a déjà mené, quelles furent vos impressions de cette étendue ? En ce qui concerne la Mer d'Albâtre, tu te sens partagée. D'un côté, l'appel de l'inconnu est irrésistible : toi qui es passionnée par la contemplation de la flore environnante, comment ne pas être excitée par la perspective de découvrir une zone encore inexplorée ? Mais de l'autre, la nouveauté en général ne t'attire pas vraiment. Tu as trouvé un équilibre dans ta vie et maîtrisé les compétences nécessaires pour survivre dans ce monde. Ta sécurité repose sur tes connaissances des plantes. L'idée de devoir tout réapprendre ailleurs te semble effrayante, et tu préfères donc ne pas l'envisager.
Pseudonyme
MimiPronoms
Sher/herSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Je ne souhaite pas participer activement à l'intrigue (par manque de temps ).Autre chose à rajouter ?
Cœur sur vous les admins, votre forum est trop chouette !!