description
Azur
26 ans
177 centimètres
Homme
Il / lui
Mannequin & Guitariste du groupe Steel Blue
Lignée des Éclats
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
Maman n'était plus là. Et c'était difficile de vivre avec papa. Entre les dettes et les exigences, il n'y avait qu'un garçon qui se poussait à l'isolement. Il ne comprenait pas vraiment ce qu'ils avaient de si plaisants, les jeux d'argent ; mais ce qui était sûr c'est que quand papa s'y mettait, ils attiraient toute son attention.
Alors il se construit seul avec des bouts de rien, ce petit garçon que son père trouvait trop féminin, seul dans sa chambre à jouer à la poupée et qui dehors, ne savait pas bien s'exprimer. La seule chose qu'il savait faire c'était chanter, chantonner des berceuses à ses poupées ou pour se réconforter.
Et pourtant sa voix a fini par se faire remarquer au lycée. Ça l'a aidé à s'ouvrir et à mieux s'intégrer, il a même rejoint un groupe sous l'initiative de nouveaux amis qu'il s'était fait. Il n'était que secondaire, l'instrument dont on lui avait demandé de s'embarrasser, parce que le plus important c'était la voix qui le portait.
Pourtant ça a fini par dérailler.
A cause d'un environnement trop peu adapté ses cordes vocales ont commencé à s'infecter et ça traînait, ça traînait jusqu'à ce que ça ne puisse plus correctement être réparé. Envolé le chant et la voix qui lui conféraient sa forme de liberté.
Alors le garçon n'a pas attendu pour fuir son père et se réfugier chez un de ses amis chers ; à vivre de sa dépendance à l'aide de ce dernier, c'était dur de trouver un travail et faire des études sans le moindre argent n'était même pas une possibilité. Il a passé des jours et des jours à la guitare, à combler ses lacunes et ce qui lui manquait.
Mais sans doute avait-il de la chance,
les temps difficiles n'ont pas longtemps duré.
Une agence de mannequinat, de nouvelles opportunités, pas un énorme travail mais de quoi suffire à combler ses besoins pour qu'il puisse enfin partir et se débrouiller. Son propre appartement, et il put même recommencer à jouer. Le rôle dans son groupe avait simplement légèrement changé.
Et puis il y eut les Éclats ; une nuit, une proposition, il avait accepté même s'il n'avait pas tout compris. Une nouvelle chose à conjuguer à sa vie déjà mouvementée... Il n'a même pas quitté le mannequinat, parce qu'il avait commencé à l'apprécier. Ce n'était pas si désagréable de se montrer, de s'amuser, de provoquer.
Pourtant parfois, il se demande parfois ce que serait sa vie aujourd'hui s'il avait eu le droit à plus de simplicité et moins de difficultés, alors qu'il laisse l'amertume de sa voix le rattraper.
Alors il se construit seul avec des bouts de rien, ce petit garçon que son père trouvait trop féminin, seul dans sa chambre à jouer à la poupée et qui dehors, ne savait pas bien s'exprimer. La seule chose qu'il savait faire c'était chanter, chantonner des berceuses à ses poupées ou pour se réconforter.
Et pourtant sa voix a fini par se faire remarquer au lycée. Ça l'a aidé à s'ouvrir et à mieux s'intégrer, il a même rejoint un groupe sous l'initiative de nouveaux amis qu'il s'était fait. Il n'était que secondaire, l'instrument dont on lui avait demandé de s'embarrasser, parce que le plus important c'était la voix qui le portait.
Pourtant ça a fini par dérailler.
A cause d'un environnement trop peu adapté ses cordes vocales ont commencé à s'infecter et ça traînait, ça traînait jusqu'à ce que ça ne puisse plus correctement être réparé. Envolé le chant et la voix qui lui conféraient sa forme de liberté.
Alors le garçon n'a pas attendu pour fuir son père et se réfugier chez un de ses amis chers ; à vivre de sa dépendance à l'aide de ce dernier, c'était dur de trouver un travail et faire des études sans le moindre argent n'était même pas une possibilité. Il a passé des jours et des jours à la guitare, à combler ses lacunes et ce qui lui manquait.
Mais sans doute avait-il de la chance,
les temps difficiles n'ont pas longtemps duré.
Une agence de mannequinat, de nouvelles opportunités, pas un énorme travail mais de quoi suffire à combler ses besoins pour qu'il puisse enfin partir et se débrouiller. Son propre appartement, et il put même recommencer à jouer. Le rôle dans son groupe avait simplement légèrement changé.
Et puis il y eut les Éclats ; une nuit, une proposition, il avait accepté même s'il n'avait pas tout compris. Une nouvelle chose à conjuguer à sa vie déjà mouvementée... Il n'a même pas quitté le mannequinat, parce qu'il avait commencé à l'apprécier. Ce n'était pas si désagréable de se montrer, de s'amuser, de provoquer.
Pourtant parfois, il se demande parfois ce que serait sa vie aujourd'hui s'il avait eu le droit à plus de simplicité et moins de difficultés, alors qu'il laisse l'amertume de sa voix le rattraper.
Azur c'est ce sourire qu'on oublie pas alors qu'il ne dure souvent qu'un instant ; cette détermination soulignée par ce bleu à l'éclat ardent. On pourrait se demander au sein de sa lignée ce qu'il fait là quand il paraît aux antipodes de tout ce qu'elle est -nonchalant et de mauvaise humeur souvent, l'air de ne pas se soucier de grand chose et de se laisser trop souvent gagner par ses pensées. Mais à le voir guitare en main sur une scène ou devant les caméras, on se dit souvent que ces préjugés n'ont plus de raison d'exister.
Il brille l'éclat bleu dans ses yeux,
il se ravive le temps d'un instant, le temps d'une chanson sur laquelle il ne posera même pas sa voix. Et c'était peut-être la seule chose qui ternissait cet éclat. Peut-être était-il égoïste ou un éternel insatisfait de continuer à la réclamer quand il savait qu'il ne pourrait jamais la récupérer. La guitare ne remplacerait vraiment jamais le soulagement d'un cri qu'on poussait pour se laisser aller. Mais ces cordes-là cordes ne suivaient plus, même ça il ne pouvait pas trop les tirer.
Pourtant il était bien loin du garçon qu'il était enfant, être limité dans ses paroles ne l'empêchait pas de savoir l'ouvrir quand il le voulait et de ne pas se laisser marcher sur les pieds -c'était souvent plutôt lui qui les écrasait. Une franchise qui avait tendance à ne pas retenir tout ce qu'il avait par la tête, les seules choses qu'il n'arrivait pas à exprimer se bloquaient d'elles-même quand il était gêné. Ça allait de pair avec cette étrange manie qu'il n'arrivait pas à contrôler ; les émotions qui explosaient sans crier gare alors qu'il n'était pas du genre à aimer les laisser voir. Mais... on ne décide pas vraiment de ce qu'on est et de ce qui est le plus sensible chez nous, avec le temps il aurait dû le savoir.
Il y a ça,
l'effort et la fatigue aussi, toutes ces petites choses qui le rendent trop émotionnels et ça se ressent toujours trop vite dans le moindre soupir. Soulagement, colère, agacement, plus facile qu'il ne le voudrait à décrypter et à lire... Il a toujours été comme ça ; mais paradoxalement, quand il s'isolait et ne côtoyait pas grand monde, c'était bien plus facile à retenir.
Et puis il se plaint, râle, grogne beaucoup, presque tout le temps, ça fait partie de son charme c'est ce qu'on lui dit souvent -mais pour lui ce ne sont que des moqueries, des plaisanteries stupides qu'il doit ignorer et ça le temps lui a appris.
Se construire tout seul ça a pas été si facile, pourtant.
Papa était trop absent ; et quand il rentrait il n'était jamais satisfait, jamais fier de son fils qui ne savait plus comment faire et qui était souvent trop proche d'abandonner. C'est vrai qu'il n'avait jamais été très malin, toujours dans l'instinct, mais peut-être qu'il aurait pu s'améliorer si seulement il avait été encouragé. Si tout ce qu'il faisait décevait, à quoi bon continuer ? Heureusement il a eu l'occasion de découvrir que ses efforts avaient raison d'exister quand il a commencé à chanter. Mais encore aujourd'hui ce sont toutes les raisons qui font qu'il a toujours abhorré l'école ou le fait d'apprendre ; n'essayez pas de l'encourager à faire des études maintenant qu'il a les moyens de s'en payer. C'est d'une profonde inutilité -il dit aussi en s'amusant qu'il vit très bien de sa stupidité. Il a appris seul à ne plus se soucier du regard des autres et ça a payé. Il se sent comme une âme libre, pas toujours si sûr de lui mais qui sait parfaitement comment s'affirmer.
Parce que se faire remarquer ça fait longtemps que ça a arrêté de l'effrayer. Si c'est comme ça que les choses peuvent bouger, il ne va pas hésiter. Il n'a plus peur depuis longtemps d'assumer sa féminité ou son homosexualité. C'est pas des choses qu'on crie avec aisance sur tous les toits pourtant, mais lui ça fait longtemps qu'il a arrêté de se réserver. Les hommes lui plaisent et il envoie des coups dans les côtes de tout ce qui osent dire que c'est parce qu'il ressemble à une fille ; apparence ou pas, il en a plein d'amies mais en dehors de ça, elles ne l'ont jamais attiré. Papa ne le sait pas et peu importe, il l'aurait sans doute tué s'il avait découvert cette vérité...
Mais l'assurance,
l'assurance c'est bien bien qu'il ne puisse pas toujours la porter.
Il aime plaire, il aime se donner en spectacle et susciter de l'émotion ; n'est-ce pas un peu insensé qu'à côté, il n'apprécie pas plus que ça être entouré ? Plein de fougue sur scène et l'instant d'après, volatilisé. La foule n'a jamais eu beaucoup d'occasions de le rencontrer. Il est sincère pourtant, son engouement, mais les fragments de celui du passé qu'il était ressurgissent et sont figés dans sa chair si profond qu'il ne pourra jamais complètement s'en débarrasser. Fatigué c'est ce qu'on peut dire, l'ardeur des autres est difficile à supporter quand la sienne est déjà lourde à peser. Le calme et la tranquillité apaisent son esprit agité, tandis que des personnalités plus vives ne font souvent que davantage le perturber.
Il se dit que c'est stupide ; et surtout lui qui aime tant se faire remarquer dans ses photos et sur scène cherche à fuir les regards quand il n'est que simple citoyen qui cherche à s'évader. Il sait qu'il n'est pas tout à fait disparu, le garçon effacé pour qui c'était dur de s'affirmer. Et parce qu'il a dû se forcer à le faire pour pouvoir réellement y arriver, la faiblesse finit inévitablement par le rattraper.
C'est aussi de là que viennent certaines traces plus douces mais visibles de sa personnalité ; quand ce jeune homme est ailleurs ou dans ses pensées, quand il parle de sa voix raillée et épuisée parce que ça n'est pas toujours agréable de rester muet. Il y a des sourires tendres qu'on donnerait cher pour attraper, et parfois sans le savoir il se rapprochait de ce petit garçon qu'il avait été autrefois et peut-être que ça lui manquait. Encore aujourd'hui, et au quotidien, il lui arrive souvent d'être inattentif, distrait, de décrocher d'une conversation quand elle a arrêté de piquer son intérêt. A part la scène, il n'a jamais été si facile à garder concentré.
Et il se sent égoïste,
égoïste d'aujourd'hui rêver à ce qu'aurait été une vie plus simple si maman avait été là et si les jeux d'argent de papa ne l'avaient pas fait succomber. S'il avait eu de bonnes notes, qu'il avait pu faire des études, trouver une autre voie à développer... Égoïste d'aimer les autres mais de parfois penser trop à soi et à son confort parce que ça lui a été si dur à trouver ; égoïste de l'amertume d'une voix alors qu'on aurait tant de choses à lui envier.
Il brille l'éclat bleu dans ses yeux,
il se ravive le temps d'un instant, le temps d'une chanson sur laquelle il ne posera même pas sa voix. Et c'était peut-être la seule chose qui ternissait cet éclat. Peut-être était-il égoïste ou un éternel insatisfait de continuer à la réclamer quand il savait qu'il ne pourrait jamais la récupérer. La guitare ne remplacerait vraiment jamais le soulagement d'un cri qu'on poussait pour se laisser aller. Mais ces cordes-là cordes ne suivaient plus, même ça il ne pouvait pas trop les tirer.
Pourtant il était bien loin du garçon qu'il était enfant, être limité dans ses paroles ne l'empêchait pas de savoir l'ouvrir quand il le voulait et de ne pas se laisser marcher sur les pieds -c'était souvent plutôt lui qui les écrasait. Une franchise qui avait tendance à ne pas retenir tout ce qu'il avait par la tête, les seules choses qu'il n'arrivait pas à exprimer se bloquaient d'elles-même quand il était gêné. Ça allait de pair avec cette étrange manie qu'il n'arrivait pas à contrôler ; les émotions qui explosaient sans crier gare alors qu'il n'était pas du genre à aimer les laisser voir. Mais... on ne décide pas vraiment de ce qu'on est et de ce qui est le plus sensible chez nous, avec le temps il aurait dû le savoir.
Il y a ça,
l'effort et la fatigue aussi, toutes ces petites choses qui le rendent trop émotionnels et ça se ressent toujours trop vite dans le moindre soupir. Soulagement, colère, agacement, plus facile qu'il ne le voudrait à décrypter et à lire... Il a toujours été comme ça ; mais paradoxalement, quand il s'isolait et ne côtoyait pas grand monde, c'était bien plus facile à retenir.
Et puis il se plaint, râle, grogne beaucoup, presque tout le temps, ça fait partie de son charme c'est ce qu'on lui dit souvent -mais pour lui ce ne sont que des moqueries, des plaisanteries stupides qu'il doit ignorer et ça le temps lui a appris.
Se construire tout seul ça a pas été si facile, pourtant.
Papa était trop absent ; et quand il rentrait il n'était jamais satisfait, jamais fier de son fils qui ne savait plus comment faire et qui était souvent trop proche d'abandonner. C'est vrai qu'il n'avait jamais été très malin, toujours dans l'instinct, mais peut-être qu'il aurait pu s'améliorer si seulement il avait été encouragé. Si tout ce qu'il faisait décevait, à quoi bon continuer ? Heureusement il a eu l'occasion de découvrir que ses efforts avaient raison d'exister quand il a commencé à chanter. Mais encore aujourd'hui ce sont toutes les raisons qui font qu'il a toujours abhorré l'école ou le fait d'apprendre ; n'essayez pas de l'encourager à faire des études maintenant qu'il a les moyens de s'en payer. C'est d'une profonde inutilité -il dit aussi en s'amusant qu'il vit très bien de sa stupidité. Il a appris seul à ne plus se soucier du regard des autres et ça a payé. Il se sent comme une âme libre, pas toujours si sûr de lui mais qui sait parfaitement comment s'affirmer.
Parce que se faire remarquer ça fait longtemps que ça a arrêté de l'effrayer. Si c'est comme ça que les choses peuvent bouger, il ne va pas hésiter. Il n'a plus peur depuis longtemps d'assumer sa féminité ou son homosexualité. C'est pas des choses qu'on crie avec aisance sur tous les toits pourtant, mais lui ça fait longtemps qu'il a arrêté de se réserver. Les hommes lui plaisent et il envoie des coups dans les côtes de tout ce qui osent dire que c'est parce qu'il ressemble à une fille ; apparence ou pas, il en a plein d'amies mais en dehors de ça, elles ne l'ont jamais attiré. Papa ne le sait pas et peu importe, il l'aurait sans doute tué s'il avait découvert cette vérité...
Mais l'assurance,
l'assurance c'est bien bien qu'il ne puisse pas toujours la porter.
Il aime plaire, il aime se donner en spectacle et susciter de l'émotion ; n'est-ce pas un peu insensé qu'à côté, il n'apprécie pas plus que ça être entouré ? Plein de fougue sur scène et l'instant d'après, volatilisé. La foule n'a jamais eu beaucoup d'occasions de le rencontrer. Il est sincère pourtant, son engouement, mais les fragments de celui du passé qu'il était ressurgissent et sont figés dans sa chair si profond qu'il ne pourra jamais complètement s'en débarrasser. Fatigué c'est ce qu'on peut dire, l'ardeur des autres est difficile à supporter quand la sienne est déjà lourde à peser. Le calme et la tranquillité apaisent son esprit agité, tandis que des personnalités plus vives ne font souvent que davantage le perturber.
Il se dit que c'est stupide ; et surtout lui qui aime tant se faire remarquer dans ses photos et sur scène cherche à fuir les regards quand il n'est que simple citoyen qui cherche à s'évader. Il sait qu'il n'est pas tout à fait disparu, le garçon effacé pour qui c'était dur de s'affirmer. Et parce qu'il a dû se forcer à le faire pour pouvoir réellement y arriver, la faiblesse finit inévitablement par le rattraper.
C'est aussi de là que viennent certaines traces plus douces mais visibles de sa personnalité ; quand ce jeune homme est ailleurs ou dans ses pensées, quand il parle de sa voix raillée et épuisée parce que ça n'est pas toujours agréable de rester muet. Il y a des sourires tendres qu'on donnerait cher pour attraper, et parfois sans le savoir il se rapprochait de ce petit garçon qu'il avait été autrefois et peut-être que ça lui manquait. Encore aujourd'hui, et au quotidien, il lui arrive souvent d'être inattentif, distrait, de décrocher d'une conversation quand elle a arrêté de piquer son intérêt. A part la scène, il n'a jamais été si facile à garder concentré.
Et il se sent égoïste,
égoïste d'aujourd'hui rêver à ce qu'aurait été une vie plus simple si maman avait été là et si les jeux d'argent de papa ne l'avaient pas fait succomber. S'il avait eu de bonnes notes, qu'il avait pu faire des études, trouver une autre voie à développer... Égoïste d'aimer les autres mais de parfois penser trop à soi et à son confort parce que ça lui a été si dur à trouver ; égoïste de l'amertume d'une voix alors qu'on aurait tant de choses à lui envier.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
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- Histoire
- Fun facts
- Physique
- Questions
Ça n'avait jamais duré très longtemps ;
ces moments où la famille avait un semblant d'unicité, où papa pouvait être fier de lui sans qu'une étincelle vienne tout briser. Il fallait toujours qu'il ai pu mieux faire, ou que quelque chose ne soit pas comme l'homme le voulait et que son fils ait à tout recommencer.
Oh,
et il fallait qu'il coupe ses stupides cheveux trop bleus, parce qu'un garçon ne pouvait pas les porter longs.
Stupides, stupides,
c'était papa qui était stupide à avoir des pensées si fermées.
Si maman avait été là, elle les aurait probablement tressés. Oui... Elle l'aurait sûrement aimé. Elle lui aurait dit que ce n'était pas grave d'être un peu féminin, délicat plutôt que fort et de préférer le chant au sport. Il n'y a rien qui dicte ce que sont une fille ou un garçon mais papa était peut-être encore coincé à la vieille époque ;
il n'évoluerait jamais,
il n'y avait sans doute pas grand chose à espérer.
Pour lui à s'être endetté, il préférait fuir et continuer de crouler dans les dettes, à ne rien dire à son garçon qu'il laissait souvent seul dans ce petit appartement. Et chaque fois qu'il lui parlait le petit était terrorisé ; bégayait, ne savait pas parler, ne savait pas s'exprimer. Timide à l'école, c'était dur de s'entourer. Et quand on lui demandait de parler de sa vie, il disait souvent qu'être orphelin n'aurait pas été si différent que ce qu'il vivait en ce moment.
C'était d'autant plus triste que ce soit la seule chose qu'il parvenait à dire correctement.
Face au monde extérieur c'était plus facile de s'enfermer dans une bulle,
parce que les peluches et les poupées qu'il aimait tant elles au moins ne lui porteraient jamais le moindre jugement.
Et pourtant,
s'exprimer,
il le savait ;
on ne se rendait simplement pas encore compte qu'il le faisait différemment.
Les berceuses qu'il chantait à ses jouets étaient pleines de sentiments. Et quand il se promenait tout seul dans un couloir en sifflotant, ou chantonnait dans ses pensées en pensant que personne ne l'écouterait ; c'était une voix qui avait des choses à dire, qui méritait de se faire entendre. C'était toujours dans ces moments-là que sa voix ne tremblait pas et qu'il semblait plus confiant.
C'était...
un échappatoire,
au quotidien morose, il n'avait qu'à s'enfermer dans sa chambre et chanter quand il rentrait le soir. Papa ne le saurait pas de toute façon ; parce que papa continuait de jouer et de s'endetter plutôt que d'aller attendre devant l'école pour accueillir son garçon.
« Hey... attends, refait cette note-là ! »
Pour être honnête, il ne se serait jamais attendu à faire quelque chose de sa voix. Tellement introverti qu'au collège il osait à peine parler quand on le lui demandait, il a fini par accepter de chanter en arrivant au lycée. Un club, un projet musical banal... il se disait peut-être, « pourquoi pas ? » ; juste parce que l'idée lui plaisait et qu'il voulait prendre une vraie décision de lui-même, pour une fois.
On s'était rendu compte que c'était pas juste une belle voix.
Le lycée c'était plus facile pour partager ; et au départ seul l'introverti qu'il était s'était retrouvé vite entouré. Des filles, des garçons, tous intéressés par la musique -et intrigués par ce garçon dont on ne se doutait pas qu'il ne parlait pas aussi bien qu'il chantait.
Ce furent de moins en moins de nuits passées chez lui ; parfois dans la maison d'un autre, parfois dehors à la belle étoile, et papa était plus facile à ignorer grâce à l'assurance que toutes ces nouvelles découvertes lui donnaient. Il avait eu de la chance, parce que les amis qui l'avaient trouvé ne l'ont jamais jugé. Ses cheveux à la couleur si atypique ne pourraient être mis en valeur que s'ils étaient exhibés de toute leur longueur, et la prestance que lui donnaient sa silhouette gracieuse et son physique androgyne n'avaient rien à envier.
Enfin,
ce fut former un groupe qui fut la meilleure des idées.
C'était juste pour s'amuser ; un petit truc entre copains, avec des guitares et du piano et la voix de leur ami, pour passer le temps et se lâcher. Pour le principe on lui avait collé un instrument dans les bras, mais ce qu'il portait le plus, ça n'était pas ça.
Il s'amusait,
il riait il s'ouvrait,
ça commençait à devenir tellement facile de parler.
Les chansons, c'était souvent lui qui les composait ; ce qui sortait de sa tête était une mine d'or de matière qu'il avait trop longtemps retenue prisonnière. L'occasion aussi pour lui de montrer un côté plus têtu qu'on ne le pensait -derrière sa timidité il y avait un garçon borné qui restait souvent trop campé sur ce qu'il avait décidé.
Ça a duré des mois et même pendant tout le lycée,
et puis un jour,
la voix a déraillé.
On savait pas vraiment mais c'était pas si difficile de se douter de pourquoi c'était arrivé : l’appartement à la limite de l'insalubre et les cigarettes de papa qui l'enfumaient, on sut que c'était plus grave quand même loin de chez lui, il n'avait pas besoin de ça pour tousser.
À la maison c'était facile à gérer mais dehors,
impossible à contrôler.
Et papa n'avait pas d'argent pour que les cordes vocales soient soignées convenablement. Alors ça traînait, ça traînait et on se disait que peut-être ça allait passer, jusqu'à ce que l'urgence soit trop grave et qu'on lui dise que c'était terminé.
Terminé...
Terminé la voix qui valsait sur des mélodies entraînantes, la voix qui montait jusqu'à se casser et le faisait rire aux éclats de s'être dépassé ; terminé la voix qui hurlait, s'aggravait, s'adoucissait, terminées les variations et les rythmes endiablés. La guitare il pouvait la changer, mais la voix c'était une chose qu'on avait qu'une seule fois et qu'on ne pouvait pas remplacer si elle se brisait.
En une soirée, c'était plié. Plus de raison de rester avec ce type qui ne lui avait rien donné pour commencer, et était quand même parvenu à tout lui voler. « C'est sa faute », il ne faisait que le répéter et impossible que ça soit changé. Ça n'était pas si faux... S'il n'y avait pas eu les dettes et l'ignorance, si maman n'était pas parti pour commencer, peut-être que c'est pas comme ça que ça se serait terminé. Il dira juste que ce n'était qu'une banale histoire dramatique comme tant d'autres, qu'il est pas le seul à qui c'est arrivé -c'était seulement sa manière de se détacher de tout ça, pour ne pas trop se laisser affecter.
Il avait laissé derrière lui une chambre vide pour se réfugier chez un ami et c'était peut-être mieux ainsi.
« Sérieusement, tu devrais pas laisser tomber la guitare... Au contraire, tu devrais... en profiter pour t'améliorer, puisque tu peux plus chanter. »
C'étaient des mots un peu maladroits certes ;
maladroits qu'il avait décidé d'ignorer et pourtant, il faut croire que c'était un peu resté. Puisqu'il ne faisait pas d'études ni ne travaillait, faute de moyens de tout payer, il rêvassait ou sortait. Une guitare acoustique dans la main, à s'asseoir en bord de rue pour jouer, il s'était pris à faire comme lorsqu'il chantonnait : ne pas réfléchir, laisser s'exprimer ce qui lui passait par la tête, tout lâcher. Il faut croire que ça marchait... Des sons plus vifs et durs lorsqu'il avait de la colère à extérioriser, et quand il était paisible ils se faisaient plus calmes et posés.
Ça marchait...
Ça marchait.
Pour lui combler ses faiblesses avec la musique et s'améliorer, c'était une nouvelle manière de parler qui commençait à se développer. Jouer dans la rue et dans des bars ne lui apportait pas assez d'argent pour combler le peu de moyens qu'il avait, mais au moins ça l'épanouissait. Son groupe d'amis avait repris forme et si cette fois ce n'était pas lui à la voix, ce qui était sûr, c'était que sa guitare se faisait toujours remarquer.
Lui aussi, d'ailleurs...
Il faut croire que ça finissait par lui réussir de s'être séparé de tout ce qui le gênait.
D'abord il y eut l'agence de mannequinat, petite agence certes mais qui proposait mieux que tout ce qu'il avait envisagé ; marques, photos, magazines, un emploi du temps pas non plus trop chargé mais assez bien payé. Il n'aurait plus besoin de dépendre de son ami et ses ailes auraient la place pour pleinement se déployer.
L'offre était trop tentante pour qu'il puisse la refuser,
et pour lui qui n'avait pas envisagé ce genre de voie pourtant, on ne pouvait pas dire que ça lui déplaisait. Mannequin le jour, guitariste dans des bars la nuit, tout s'était passé si vite, beaucoup trop vite, comme si sa vie avait pris un nouveau tournant en une fraction de secondes et que retourner en arrière n'était plus une option.
Et puis plus tard,
il y eut les Éclats ; il ne les connaissait pas vraiment quand on était venu l'aborder. S'il paraissait nonchalant et détaché quand on le voyait dans la rue, c'était toute son ardeur et sa passion quand il jouait et se produisait qui semblait avoir attiré. Sa facilité à se faire entendre malgré ses problèmes de voix, son désir d'indépendance, à croire qu'il n'y avait pas toujours besoin de mots pour parler. Il était devenu doué pour ça, à force... Mais il avait accepté. Comme beaucoup d'autres il pensait naïvement que c'était juste un groupe d'amateurs de sensations fortes, ou d'autres personnes comme lui qui n'avaient pas peur de se donner pour les autres et de se faire remarquer... Pour autant il n'a pas tourné le dos en comprenant un peu mieux de quoi il en retournait.
Papa n'a pas pris de nouvelles depuis qu'il était parti ;
et même si ça avait été longtemps conflictuel,
il se demandait encore parfois s'il s'en sortait.
Peut-être même qu'il aurait pu l'aider à régler ses dettes -mais est-ce que seulement l'homme accepterait ? Trop fier pour accepter un coup de main, alors surtout pas celui de son fils qui s'en était sorti à partir de rien. Il avait trouvé le confort de son propre appartement, et faisait parler son cœur au rythme des cordes qu'il grattait ou prenait la liberté de poser comme il le souhaitait, parfois peut-être pour provoquer et s'affirmer -mettre en avant son apparence qu'on avait avant longtemps critiquée.
Lui qui petit avait été si docile et effacé n'avait plus besoin de se cacher, tout comme il ne pliait plus devant le regard des autres et se laissait encore moins marcher sur les pieds.
Alors,
était-ce égoïste de porter encore aujourd'hui l'amertume de la voix dont on l'avait privé ?
ces moments où la famille avait un semblant d'unicité, où papa pouvait être fier de lui sans qu'une étincelle vienne tout briser. Il fallait toujours qu'il ai pu mieux faire, ou que quelque chose ne soit pas comme l'homme le voulait et que son fils ait à tout recommencer.
Oh,
et il fallait qu'il coupe ses stupides cheveux trop bleus, parce qu'un garçon ne pouvait pas les porter longs.
Stupides, stupides,
c'était papa qui était stupide à avoir des pensées si fermées.
Si maman avait été là, elle les aurait probablement tressés. Oui... Elle l'aurait sûrement aimé. Elle lui aurait dit que ce n'était pas grave d'être un peu féminin, délicat plutôt que fort et de préférer le chant au sport. Il n'y a rien qui dicte ce que sont une fille ou un garçon mais papa était peut-être encore coincé à la vieille époque ;
il n'évoluerait jamais,
il n'y avait sans doute pas grand chose à espérer.
Pour lui à s'être endetté, il préférait fuir et continuer de crouler dans les dettes, à ne rien dire à son garçon qu'il laissait souvent seul dans ce petit appartement. Et chaque fois qu'il lui parlait le petit était terrorisé ; bégayait, ne savait pas parler, ne savait pas s'exprimer. Timide à l'école, c'était dur de s'entourer. Et quand on lui demandait de parler de sa vie, il disait souvent qu'être orphelin n'aurait pas été si différent que ce qu'il vivait en ce moment.
C'était d'autant plus triste que ce soit la seule chose qu'il parvenait à dire correctement.
Face au monde extérieur c'était plus facile de s'enfermer dans une bulle,
parce que les peluches et les poupées qu'il aimait tant elles au moins ne lui porteraient jamais le moindre jugement.
Et pourtant,
s'exprimer,
il le savait ;
on ne se rendait simplement pas encore compte qu'il le faisait différemment.
Les berceuses qu'il chantait à ses jouets étaient pleines de sentiments. Et quand il se promenait tout seul dans un couloir en sifflotant, ou chantonnait dans ses pensées en pensant que personne ne l'écouterait ; c'était une voix qui avait des choses à dire, qui méritait de se faire entendre. C'était toujours dans ces moments-là que sa voix ne tremblait pas et qu'il semblait plus confiant.
C'était...
un échappatoire,
au quotidien morose, il n'avait qu'à s'enfermer dans sa chambre et chanter quand il rentrait le soir. Papa ne le saurait pas de toute façon ; parce que papa continuait de jouer et de s'endetter plutôt que d'aller attendre devant l'école pour accueillir son garçon.
« Hey... attends, refait cette note-là ! »
Pour être honnête, il ne se serait jamais attendu à faire quelque chose de sa voix. Tellement introverti qu'au collège il osait à peine parler quand on le lui demandait, il a fini par accepter de chanter en arrivant au lycée. Un club, un projet musical banal... il se disait peut-être, « pourquoi pas ? » ; juste parce que l'idée lui plaisait et qu'il voulait prendre une vraie décision de lui-même, pour une fois.
On s'était rendu compte que c'était pas juste une belle voix.
Le lycée c'était plus facile pour partager ; et au départ seul l'introverti qu'il était s'était retrouvé vite entouré. Des filles, des garçons, tous intéressés par la musique -et intrigués par ce garçon dont on ne se doutait pas qu'il ne parlait pas aussi bien qu'il chantait.
Ce furent de moins en moins de nuits passées chez lui ; parfois dans la maison d'un autre, parfois dehors à la belle étoile, et papa était plus facile à ignorer grâce à l'assurance que toutes ces nouvelles découvertes lui donnaient. Il avait eu de la chance, parce que les amis qui l'avaient trouvé ne l'ont jamais jugé. Ses cheveux à la couleur si atypique ne pourraient être mis en valeur que s'ils étaient exhibés de toute leur longueur, et la prestance que lui donnaient sa silhouette gracieuse et son physique androgyne n'avaient rien à envier.
Enfin,
ce fut former un groupe qui fut la meilleure des idées.
C'était juste pour s'amuser ; un petit truc entre copains, avec des guitares et du piano et la voix de leur ami, pour passer le temps et se lâcher. Pour le principe on lui avait collé un instrument dans les bras, mais ce qu'il portait le plus, ça n'était pas ça.
Il s'amusait,
il riait il s'ouvrait,
ça commençait à devenir tellement facile de parler.
Les chansons, c'était souvent lui qui les composait ; ce qui sortait de sa tête était une mine d'or de matière qu'il avait trop longtemps retenue prisonnière. L'occasion aussi pour lui de montrer un côté plus têtu qu'on ne le pensait -derrière sa timidité il y avait un garçon borné qui restait souvent trop campé sur ce qu'il avait décidé.
Ça a duré des mois et même pendant tout le lycée,
et puis un jour,
la voix a déraillé.
On savait pas vraiment mais c'était pas si difficile de se douter de pourquoi c'était arrivé : l’appartement à la limite de l'insalubre et les cigarettes de papa qui l'enfumaient, on sut que c'était plus grave quand même loin de chez lui, il n'avait pas besoin de ça pour tousser.
À la maison c'était facile à gérer mais dehors,
impossible à contrôler.
Et papa n'avait pas d'argent pour que les cordes vocales soient soignées convenablement. Alors ça traînait, ça traînait et on se disait que peut-être ça allait passer, jusqu'à ce que l'urgence soit trop grave et qu'on lui dise que c'était terminé.
Terminé...
Terminé la voix qui valsait sur des mélodies entraînantes, la voix qui montait jusqu'à se casser et le faisait rire aux éclats de s'être dépassé ; terminé la voix qui hurlait, s'aggravait, s'adoucissait, terminées les variations et les rythmes endiablés. La guitare il pouvait la changer, mais la voix c'était une chose qu'on avait qu'une seule fois et qu'on ne pouvait pas remplacer si elle se brisait.
En une soirée, c'était plié. Plus de raison de rester avec ce type qui ne lui avait rien donné pour commencer, et était quand même parvenu à tout lui voler. « C'est sa faute », il ne faisait que le répéter et impossible que ça soit changé. Ça n'était pas si faux... S'il n'y avait pas eu les dettes et l'ignorance, si maman n'était pas parti pour commencer, peut-être que c'est pas comme ça que ça se serait terminé. Il dira juste que ce n'était qu'une banale histoire dramatique comme tant d'autres, qu'il est pas le seul à qui c'est arrivé -c'était seulement sa manière de se détacher de tout ça, pour ne pas trop se laisser affecter.
Il avait laissé derrière lui une chambre vide pour se réfugier chez un ami et c'était peut-être mieux ainsi.
« Sérieusement, tu devrais pas laisser tomber la guitare... Au contraire, tu devrais... en profiter pour t'améliorer, puisque tu peux plus chanter. »
C'étaient des mots un peu maladroits certes ;
maladroits qu'il avait décidé d'ignorer et pourtant, il faut croire que c'était un peu resté. Puisqu'il ne faisait pas d'études ni ne travaillait, faute de moyens de tout payer, il rêvassait ou sortait. Une guitare acoustique dans la main, à s'asseoir en bord de rue pour jouer, il s'était pris à faire comme lorsqu'il chantonnait : ne pas réfléchir, laisser s'exprimer ce qui lui passait par la tête, tout lâcher. Il faut croire que ça marchait... Des sons plus vifs et durs lorsqu'il avait de la colère à extérioriser, et quand il était paisible ils se faisaient plus calmes et posés.
Ça marchait...
Ça marchait.
Pour lui combler ses faiblesses avec la musique et s'améliorer, c'était une nouvelle manière de parler qui commençait à se développer. Jouer dans la rue et dans des bars ne lui apportait pas assez d'argent pour combler le peu de moyens qu'il avait, mais au moins ça l'épanouissait. Son groupe d'amis avait repris forme et si cette fois ce n'était pas lui à la voix, ce qui était sûr, c'était que sa guitare se faisait toujours remarquer.
Lui aussi, d'ailleurs...
Il faut croire que ça finissait par lui réussir de s'être séparé de tout ce qui le gênait.
D'abord il y eut l'agence de mannequinat, petite agence certes mais qui proposait mieux que tout ce qu'il avait envisagé ; marques, photos, magazines, un emploi du temps pas non plus trop chargé mais assez bien payé. Il n'aurait plus besoin de dépendre de son ami et ses ailes auraient la place pour pleinement se déployer.
L'offre était trop tentante pour qu'il puisse la refuser,
et pour lui qui n'avait pas envisagé ce genre de voie pourtant, on ne pouvait pas dire que ça lui déplaisait. Mannequin le jour, guitariste dans des bars la nuit, tout s'était passé si vite, beaucoup trop vite, comme si sa vie avait pris un nouveau tournant en une fraction de secondes et que retourner en arrière n'était plus une option.
Et puis plus tard,
il y eut les Éclats ; il ne les connaissait pas vraiment quand on était venu l'aborder. S'il paraissait nonchalant et détaché quand on le voyait dans la rue, c'était toute son ardeur et sa passion quand il jouait et se produisait qui semblait avoir attiré. Sa facilité à se faire entendre malgré ses problèmes de voix, son désir d'indépendance, à croire qu'il n'y avait pas toujours besoin de mots pour parler. Il était devenu doué pour ça, à force... Mais il avait accepté. Comme beaucoup d'autres il pensait naïvement que c'était juste un groupe d'amateurs de sensations fortes, ou d'autres personnes comme lui qui n'avaient pas peur de se donner pour les autres et de se faire remarquer... Pour autant il n'a pas tourné le dos en comprenant un peu mieux de quoi il en retournait.
Papa n'a pas pris de nouvelles depuis qu'il était parti ;
et même si ça avait été longtemps conflictuel,
il se demandait encore parfois s'il s'en sortait.
Peut-être même qu'il aurait pu l'aider à régler ses dettes -mais est-ce que seulement l'homme accepterait ? Trop fier pour accepter un coup de main, alors surtout pas celui de son fils qui s'en était sorti à partir de rien. Il avait trouvé le confort de son propre appartement, et faisait parler son cœur au rythme des cordes qu'il grattait ou prenait la liberté de poser comme il le souhaitait, parfois peut-être pour provoquer et s'affirmer -mettre en avant son apparence qu'on avait avant longtemps critiquée.
Lui qui petit avait été si docile et effacé n'avait plus besoin de se cacher, tout comme il ne pliait plus devant le regard des autres et se laissait encore moins marcher sur les pieds.
Alors,
était-ce égoïste de porter encore aujourd'hui l'amertume de la voix dont on l'avait privé ?
○ Il sait -et aime- se faire remarquer mais seulement sur ses heures de travail et quand il joue, que ce soit au milieu de la rue ou dans des bars ; autrement il porte toujours un masque et une casquette pour se fondre le mieux possible dans la foule, sans forcément se dire que ses longs cheveux azur risquent de ne pas s'assortir avec le reste de sa tenue pour passer inaperçu
○ "Azur", c'est le nom de scène qu'il s'est choisi quand il a commencé à devenir un peu connu. On ne le connaît d'ailleurs que par ce surnom et c'est toujours celui qu'il donnera quand on lui demande son nom -oui, même alors qu'il ne veut pas trop se faire remarquer quand il est un citoyen lambda. Peut-être que son prénom le ramène à des souvenirs désagréables...
○ Très versé dans le domaine de la musique, connaît tout un panel d'instruments mais la guitare et celui qu'il préfère utiliser ; pas très difficile à transporter et versatile à utiliser
○ Fait la collection de pins vintage et serait prêt à dépenser une fortune pour acquérir les plus rares qu'il trouverait
○ Fait principalement du rock mais s'essaye occasionnellement à d'autres styles, bon dans la plupart des domaines musicaux, pas mauvais au pire
○ Possède une dizaine de guitare exposées dans le salon de son appartement, la plupart sont décoratives et de collection ; en dehors de concerts ou quand il joue seul, il a le plus souvent sa guitare accoustique
○ Écrit encore des chansons, même s'il sait qu'il ne pourra plus les chanter
○ Beaucoup plus spontané et manuel qu'intellectuel
○ Se méfie des chiens depuis qu'un gros doberman s'est jeté sur lui pour lui piquer son sandwich quand il était petit (il dit souvent que même les plus petits sont des êtres pleins de malice)
○ Sa couleur de cheveux est peut-être naturelle, mais il aime quand même le bleu. Tout chez lui est noir, blanc, bleu -occasionnellement relevé avec de petites touches de rouges ou de brun pour trancher
○ Aime porter des tenues élégantes ou pratiques et n'a jamais été complexé par sa féminité, il n'hésite pas à l'entretenir et elle lui plaît
○ Boit beaucoup de thé
○ Assez difficile sur la nourriture sauf quand il s'agit de sucreries (toujours un bonbon ou une sucette dans la poche, ça l'aide à calmer la nervosité)
○ Son groupe de musique s'appelle "Steel Blue", il était le seul à s'opposer au nom mais il faut croire que personne ne lui a laissé le choix d'être leader -c'est quelque chose qu'il fait assez naturellement
○ Piètre dessinateur
○ S'y connaît pas mal en machinerie de spectacles, il a eu l'occasion de se renseigner pour se groupe et plus tard d'apprendre au sein de sa Lignée
○ Assortis toujours ses accessoires avec la tenue qu'il porte, peu importe le moment ; ne pas se faire remarquer est une chose, être bien habillé en est une autre
○ Pas connu pour être très sage ; son groupe s'est déjà fait convoquer au commissariat pour quelques petits troubles
○ Possède un côté étonnamment charmeur et insolent qu'on a parfois du mal à lui trouver quand on le voit de loin ; il suffit pourtant simplement que quelqu'un lui plaise ou qu'il le connaisse bien
○ N'est pas combattant dans les arènes mais occasionnellement, il joue de la musique pour animer les combats ; ce sont les seuls moments où il est complètement masqué et qu'il est bien moins facile de le reconnaître, bien que son style soit assez caractéristique
○ "Azur", c'est le nom de scène qu'il s'est choisi quand il a commencé à devenir un peu connu. On ne le connaît d'ailleurs que par ce surnom et c'est toujours celui qu'il donnera quand on lui demande son nom -oui, même alors qu'il ne veut pas trop se faire remarquer quand il est un citoyen lambda. Peut-être que son prénom le ramène à des souvenirs désagréables...
○ Très versé dans le domaine de la musique, connaît tout un panel d'instruments mais la guitare et celui qu'il préfère utiliser ; pas très difficile à transporter et versatile à utiliser
○ Fait la collection de pins vintage et serait prêt à dépenser une fortune pour acquérir les plus rares qu'il trouverait
○ Fait principalement du rock mais s'essaye occasionnellement à d'autres styles, bon dans la plupart des domaines musicaux, pas mauvais au pire
○ Possède une dizaine de guitare exposées dans le salon de son appartement, la plupart sont décoratives et de collection ; en dehors de concerts ou quand il joue seul, il a le plus souvent sa guitare accoustique
○ Écrit encore des chansons, même s'il sait qu'il ne pourra plus les chanter
○ Beaucoup plus spontané et manuel qu'intellectuel
○ Se méfie des chiens depuis qu'un gros doberman s'est jeté sur lui pour lui piquer son sandwich quand il était petit (il dit souvent que même les plus petits sont des êtres pleins de malice)
○ Sa couleur de cheveux est peut-être naturelle, mais il aime quand même le bleu. Tout chez lui est noir, blanc, bleu -occasionnellement relevé avec de petites touches de rouges ou de brun pour trancher
○ Aime porter des tenues élégantes ou pratiques et n'a jamais été complexé par sa féminité, il n'hésite pas à l'entretenir et elle lui plaît
○ Boit beaucoup de thé
○ Assez difficile sur la nourriture sauf quand il s'agit de sucreries (toujours un bonbon ou une sucette dans la poche, ça l'aide à calmer la nervosité)
○ Son groupe de musique s'appelle "Steel Blue", il était le seul à s'opposer au nom mais il faut croire que personne ne lui a laissé le choix d'être leader -c'est quelque chose qu'il fait assez naturellement
○ Piètre dessinateur
○ S'y connaît pas mal en machinerie de spectacles, il a eu l'occasion de se renseigner pour se groupe et plus tard d'apprendre au sein de sa Lignée
○ Assortis toujours ses accessoires avec la tenue qu'il porte, peu importe le moment ; ne pas se faire remarquer est une chose, être bien habillé en est une autre
○ Pas connu pour être très sage ; son groupe s'est déjà fait convoquer au commissariat pour quelques petits troubles
○ Possède un côté étonnamment charmeur et insolent qu'on a parfois du mal à lui trouver quand on le voit de loin ; il suffit pourtant simplement que quelqu'un lui plaise ou qu'il le connaisse bien
○ N'est pas combattant dans les arènes mais occasionnellement, il joue de la musique pour animer les combats ; ce sont les seuls moments où il est complètement masqué et qu'il est bien moins facile de le reconnaître, bien que son style soit assez caractéristique
C'est un bleu qui frappe ; un bleu qui accroche l’œil, une couleur irréelle.
Il ne sait pas d'où il la tient -mais il est sûr qu'il ne la tient pas de son père. Ses cheveux sont assortis à ses yeux, et on croirait y voir la profondeur d'un ciel ou un océan agité en temps de tempête. Le garçon s'est toujours demandé si ça n'était pas peu dans la diversité de ses traits, mais plus tard c'est une unicité qu'il a appris à apprécier.
Azur était loin d'être un surnom mal choisi ou inapproprié.
Longue chevelure et doigts de fées ;
parce qu'ils étaient délicats et doués.
Il était né avec une silhouette plus délicate que solide, né avec une douceur dans ses traits qui lui donnaient beaucoup de féminité. Et ses cheveux il les aimait longs, libres et volages comme lui lorsqu'il se laissait courir avec le vent. Pourquoi s'embarrasser de les couper quand il pouvait juste les attacher ? Pourquoi se forcer à un modèle de masculinité si ce n'était pas ce qu'il voulait ? C'étaient juste les pensées toxiques de son père et malgré les mots rabaissants, il avait au moins toujours su ne jamais l'écouter.
Sa féminité et son physique androgyne étaient ce qu'il aimait,
surtout lorsqu'il pouvait beaucoup en jouer.
Ses longues jambes qui semblaient le porter avec légèreté, ses bras fins qui donnaient parfois l'impression qu'il allait s'envoler... Ça a toujours été gracieux et avec son travail, il n'a pas peur de les exposer. Il y avait aussi la clarté de sa peau, douce quand il était reposé et plus pâle quand il était épuisé...
Mais la chose qui ne changeait pas d'une humeur à l'autre,
ça a toujours été les rougeurs d'une facilité incroyable à remarquer. Quelques secondes de gêne ou d'embarrassement rendaient ses joues roses, trop vif pour qu'on ne puisse pas le remarquer. Pour quelqu'un qui n'aimait pas montrer trop facilement ses émotions, ça n'ajoutait pas beaucoup de facilité.
Quand il est d'humeur légère il s'habille de vêtements dépareillés ou colorés, et parfois même il se maquille et ce n'est même pas pour rigoler.
Souligner son visage de légers traits de crayons pour l'égayer ; couvrir ses cils de mascara pour les allonger, ce n'est pas toujours dans le cadre de son travail qu'il le fait, ça lui procure un certain plaisir et ça l'amuse de se dire qu'il est sa propre poupée. Et quand ça arrive qu'on le prenne pour une fille il ne valide mais ne réfute non plus jamais. Ça a toujours eu l'air... de l'amuser, bien plus que de l'offenser.
Qu'on s'amuse à critiquer comment il se fait et il vous enverra toujours balader. Qui a dit que chaque homme et chaque femme avait une image bien précise à respecter ? Il ne faudra jamais lui dire d'être plus viril ou de se muscler.
Il ne sait pas d'où il la tient -mais il est sûr qu'il ne la tient pas de son père. Ses cheveux sont assortis à ses yeux, et on croirait y voir la profondeur d'un ciel ou un océan agité en temps de tempête. Le garçon s'est toujours demandé si ça n'était pas peu dans la diversité de ses traits, mais plus tard c'est une unicité qu'il a appris à apprécier.
Azur était loin d'être un surnom mal choisi ou inapproprié.
Longue chevelure et doigts de fées ;
parce qu'ils étaient délicats et doués.
Il était né avec une silhouette plus délicate que solide, né avec une douceur dans ses traits qui lui donnaient beaucoup de féminité. Et ses cheveux il les aimait longs, libres et volages comme lui lorsqu'il se laissait courir avec le vent. Pourquoi s'embarrasser de les couper quand il pouvait juste les attacher ? Pourquoi se forcer à un modèle de masculinité si ce n'était pas ce qu'il voulait ? C'étaient juste les pensées toxiques de son père et malgré les mots rabaissants, il avait au moins toujours su ne jamais l'écouter.
Sa féminité et son physique androgyne étaient ce qu'il aimait,
surtout lorsqu'il pouvait beaucoup en jouer.
Ses longues jambes qui semblaient le porter avec légèreté, ses bras fins qui donnaient parfois l'impression qu'il allait s'envoler... Ça a toujours été gracieux et avec son travail, il n'a pas peur de les exposer. Il y avait aussi la clarté de sa peau, douce quand il était reposé et plus pâle quand il était épuisé...
Mais la chose qui ne changeait pas d'une humeur à l'autre,
ça a toujours été les rougeurs d'une facilité incroyable à remarquer. Quelques secondes de gêne ou d'embarrassement rendaient ses joues roses, trop vif pour qu'on ne puisse pas le remarquer. Pour quelqu'un qui n'aimait pas montrer trop facilement ses émotions, ça n'ajoutait pas beaucoup de facilité.
Quand il est d'humeur légère il s'habille de vêtements dépareillés ou colorés, et parfois même il se maquille et ce n'est même pas pour rigoler.
Souligner son visage de légers traits de crayons pour l'égayer ; couvrir ses cils de mascara pour les allonger, ce n'est pas toujours dans le cadre de son travail qu'il le fait, ça lui procure un certain plaisir et ça l'amuse de se dire qu'il est sa propre poupée. Et quand ça arrive qu'on le prenne pour une fille il ne valide mais ne réfute non plus jamais. Ça a toujours eu l'air... de l'amuser, bien plus que de l'offenser.
Qu'on s'amuse à critiquer comment il se fait et il vous enverra toujours balader. Qui a dit que chaque homme et chaque femme avait une image bien précise à respecter ? Il ne faudra jamais lui dire d'être plus viril ou de se muscler.
Avez-vous choisi de vous-même de rallier votre lignée ? Si oui, pourquoi ? Si non, dans quelles circonstances votre adhésion s’est-elle faite ? Oh, non, il ne connaissait absolument pas l'existence des Lignées avant qu'on l'ai abordé. Ou plutôt peut-être qu'il n'y accordait pas vraiment d'attention, puisque ce n'était pas quelque chose qui le concernait... Il y avait cette figure dans la foule de ses spectacles improvisés qu'il lui arrivait de remarquer ; elle revenait souvent, la même posture, le même regard difficile à déchiffrer. Il n'avait pas toujours le temps de retenir les visages de ses spectateurs mais celui-là, avec ses regards un peu insistants avait été dur à oublier. Il n'était pas sûr qu'ils l'étaient au départ -mais en tout cas ils le sont devenus avec le temps.
Les circonstances c'était un soir après une scène ouverte, tout son groupe était occupé à discuter et lui avait décidé de rester à ranger le matériel, un peu plus en retrait. La silhouette si familière s'était enfin détachée et elle était venue se présenter à lui, amenant peu à peu cette proposition de rejoindre la lignée. Il n'avait plus en tête tout les détails ; sa flamboyance et son caractère faisaient sa force, mais il avait du mal à comprendre pourquoi une Lignée supposément prestigieuse s'intéressait à un simple artiste de rue, qui n'était même pas un mannequin si connu. Pourtant c'était peut-être sur un coup de tête, mais il avait accepté.
Oh, et il se souvenait qu'elle avait parlé d'une étincelle qui avait besoin d'être ravivée...
Les circonstances c'était un soir après une scène ouverte, tout son groupe était occupé à discuter et lui avait décidé de rester à ranger le matériel, un peu plus en retrait. La silhouette si familière s'était enfin détachée et elle était venue se présenter à lui, amenant peu à peu cette proposition de rejoindre la lignée. Il n'avait plus en tête tout les détails ; sa flamboyance et son caractère faisaient sa force, mais il avait du mal à comprendre pourquoi une Lignée supposément prestigieuse s'intéressait à un simple artiste de rue, qui n'était même pas un mannequin si connu. Pourtant c'était peut-être sur un coup de tête, mais il avait accepté.
Oh, et il se souvenait qu'elle avait parlé d'une étincelle qui avait besoin d'être ravivée...
Quel est votre niveau de connaissance vis-à-vis des lignées ? Quelle est votre opinion sur ces dernières ? Elles se résumaient à des rumeurs avant qu'il ne soit lui-même un éclat. Des rumeurs, des petits mots vus sur les forums, les réseaux sociaux... Et maintenant qu'il les connaît un peu plus, impossible de vraiment savoir quoi en penser. Il n'est pas encore décidé à s'investir activement ; c'est surtout que tout le côté politique ou administratif, si ça devait le concerner, ne l'intéresse pas du tout. Il est là pour divertir et c'est ce qu'il fait de mieux -ce qui est une forme d'investissement en soi.
Un souvenir qui vous est cher ? Ce n'est pas un concert, pas non plus un prix qu'il aurait pu remporter... Juste le souvenir de la première fois où sa voix avait porté pour que tout le monde puisse l'écouter. Pas qu'il aie vraiment voulu attirer l'attention, mais les quelques sincères compliments et les félicitations, il avait l'impression que c'était la première fois qu'on l'appréciait pour tout ça. Qu'on ne portait pas de jugement sur lui et qu'on ne critiquait pas sa féminité ou sa voix délicate quand il s'exprimait... Il le chérit toujours, ce souvenir, bien que la mélancolie l'envahisse quand il se dit qu'il n'y aura sans doute pas de seconde fois à ça.
Par quelles compétences vous illustrez-vous (technologiques, intellectuelles, physiques, humaines, etc.) ? Depuis petit, Azur a toujours été bien plus instinctif et manuel qu'intellectuel. Doué de ses mains, il est habile avec beaucoup d'instrument et sait même manipuler un peu de machinerie, faire du bricolage en urgence... Mais il ne faut pas lui demander de se servir de sa tête pour des choses trop compliqué. Ce n'est pas le plus logique et il a décroché trop vite en cours de mathématiques. Calculs simples, c'est le mieux qu'il soit capable de faire, il ne faut pas trop lui demander.
Utilisez-vous souvent DysCord ? Assez souvent pour communiquer ; mais Azur est aussi le genre de personne à laisser en plan des réponses pendant plusieurs heures parce qu'il a simplement oublié.
Un secret inavouable ? Le principe d'un secret inavouable, c'est qu'il est difficile à avouer, non ? Ce n'est pas quelque chose qu'il voudrait se faire savoir. Peut-être qu'il n'a rien d'inavouable à exprimer, ou peut-être simplement que lui aussi a finalement des choses qu'il n'a pas du tout envie d'assumer.
Souhaitez-vous explorer la Mer d’Albâtre ? Si votre parcours vous y a déjà mené, quelles furent vos impressions de cette étendue ? Au delà des nuages, de l'île et de ses lignées, il s'est toujours demandé s'ils étaient seuls au monde ou qu'au delà de l'Arceau il y avait tout un monde qui s'étendait. Pas qu'il souhaite réellement explorer la mer et ses dangers, mais peut-être que si un jour on entrevoyait la possibilité de découvrir d'autres choses au delà, il pourrait se laisser tenter.
Pseudonyme
Petit BipèdePronoms
ElleSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Je souhaite participer activement.Autre chose à rajouter ?
Je voulais juste dire que le forum était vraiment très joli et je salue vos inspirations (Nier, mon cœur crie de joie)J'ai hâte de tout découvrir !!
(f,sf j'espère que y'aura pas de bêtise je voulais absolument poster ma fiche avant de partir au taf)