description
Medea
35 ans
164 centimètres
femme cis
she/her
Chercheuse en sciences historiques
Pas de lignée
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
565 : nait d’un second mariage dans une famille de la Zone de haute tension, de parents trop âgés qui essayent tant bien que mal de s’occuper de cette enfant imprévue.
567 : La charge d’un enfant se révèle vite difficile alors on pense à cette sœur issue d’un premier mariage qui brille déjà tant. Elle, elle pourrait assurer un avenir à Medea. Alors on embrasse la tête douce et on laisse l’enfant aux bons soins de Jude.
Enfance : Pas de maman, pas de papa, il n’y a que Jude et son amour parfois étouffant parfois absent et toujours étrangement volatile, spectaculairement public aussi, c'est particulier mais Jude est le monde de Medea et elle veut la rendre fière. Il y a cette femme avec elles que Jude dit aimer et Medea l'aime bien aussi, elle qui est tellement plus facile à lire que Jude.
579-583 : Ça surprend Medea, ça remue un peu l’estomac : Jude adopte Ariel et Medea a le sentiment de disparaître. Sur les photos des journalistes, il y a cette famille et Medea fait tache. Elle prête peu d'attention à cet enfant qui empiète sur son territoire, pas même quand la femme de Jude disparaît du paysage. Il brille tellement, parade pour le bon plaisir de Jude et Medea fait tâche et se fond presque morosement dans les rideaux. C’est peut-être pour les caméras uniquement puisque Jude ne leur prête pas vraiment attention ni à l’un ni à l’autre mais Medea est trop jeune pour comprendre.
Plus on grandit, plus une colère gronde, incisive et accusatrice parce qu’on ne supporte plus les contradictions de Jude, ni son personnage et les flash. Ce ne sont que des remarques acides qui échappent des lèvres craintivement parce que Medea sait qu’elle doit tout à Rogue. Alors il y a surtout la fuite toujours dans les bouquins et les histoires.
583 : Medea commence ses études au Collegium et déménage dans un petit appartement que sa généreuse sœur paie.
590 : Son doctorat en main, Medea continue la recherche, s’y plonge furieusement avec la hâte de gravir les échelons. Mais c’est terrible comme à chaque fois, les opportunités semblent glisser entre ses doigts et c’est chaque jour un peu plus frustrant ces portes fermées sous son nez, surtout quand Jude se plaît à toujours lui envoyer un peu d’argent “pour aider ma petite soeur”
598 : Medea rencontre un détective au fil de ses recherches. Il lui propose un échange d’informations pour leurs intérêts et surtout, il éveille la curiosité de Medea qui accepte. Un lien se forge entre eux, Medea devenant sa protégée.
600 : Leurs recherches dérivent, approchant un complotisme suspicieux et pourtant semblant de plus en plus plausible, le mentor disparaît après des découvertes qu’il ne pourra révéler qu’à demi mots à Medea, dont un nom très connu du Collegium.
Medea feint la normalité pour ne pas paraître suspecte alors qu'elle veut prudemment poursuivre l'enquête et peut-être retrouver son mentor sans disparaître à son tour.
567 : La charge d’un enfant se révèle vite difficile alors on pense à cette sœur issue d’un premier mariage qui brille déjà tant. Elle, elle pourrait assurer un avenir à Medea. Alors on embrasse la tête douce et on laisse l’enfant aux bons soins de Jude.
Enfance : Pas de maman, pas de papa, il n’y a que Jude et son amour parfois étouffant parfois absent et toujours étrangement volatile, spectaculairement public aussi, c'est particulier mais Jude est le monde de Medea et elle veut la rendre fière. Il y a cette femme avec elles que Jude dit aimer et Medea l'aime bien aussi, elle qui est tellement plus facile à lire que Jude.
579-583 : Ça surprend Medea, ça remue un peu l’estomac : Jude adopte Ariel et Medea a le sentiment de disparaître. Sur les photos des journalistes, il y a cette famille et Medea fait tache. Elle prête peu d'attention à cet enfant qui empiète sur son territoire, pas même quand la femme de Jude disparaît du paysage. Il brille tellement, parade pour le bon plaisir de Jude et Medea fait tâche et se fond presque morosement dans les rideaux. C’est peut-être pour les caméras uniquement puisque Jude ne leur prête pas vraiment attention ni à l’un ni à l’autre mais Medea est trop jeune pour comprendre.
Plus on grandit, plus une colère gronde, incisive et accusatrice parce qu’on ne supporte plus les contradictions de Jude, ni son personnage et les flash. Ce ne sont que des remarques acides qui échappent des lèvres craintivement parce que Medea sait qu’elle doit tout à Rogue. Alors il y a surtout la fuite toujours dans les bouquins et les histoires.
583 : Medea commence ses études au Collegium et déménage dans un petit appartement que sa généreuse sœur paie.
590 : Son doctorat en main, Medea continue la recherche, s’y plonge furieusement avec la hâte de gravir les échelons. Mais c’est terrible comme à chaque fois, les opportunités semblent glisser entre ses doigts et c’est chaque jour un peu plus frustrant ces portes fermées sous son nez, surtout quand Jude se plaît à toujours lui envoyer un peu d’argent “pour aider ma petite soeur”
598 : Medea rencontre un détective au fil de ses recherches. Il lui propose un échange d’informations pour leurs intérêts et surtout, il éveille la curiosité de Medea qui accepte. Un lien se forge entre eux, Medea devenant sa protégée.
600 : Leurs recherches dérivent, approchant un complotisme suspicieux et pourtant semblant de plus en plus plausible, le mentor disparaît après des découvertes qu’il ne pourra révéler qu’à demi mots à Medea, dont un nom très connu du Collegium.
Medea feint la normalité pour ne pas paraître suspecte alors qu'elle veut prudemment poursuivre l'enquête et peut-être retrouver son mentor sans disparaître à son tour.
sérieuse ; obstinée ; trop curieuse ; rancunière ; la colère qui gronde au fond de l’estomac ; les questions qui tiennent éveillée mais qu’on ne pose jamais ; obsessive ; émotionnellement maladroite ; la loyauté tout aussi maladroite une fois le coeur touché, trouve la logique plus facile ; pudique avec ses ressentis du coup ; perfectionniste qui se noie dans les recherches ; dépassée ; effrayée par la vulnérabilité ; émotive malgré elle (ça déborde du vase parfois) ; nouvellement terriblement méfiante ; observer plutôt que parler ; fouine ; peu de présence
○
Tout est si alambiqué, l’a toujours été pour Medea. Depuis son premier souvenir, Medea est partagée. Il y a des bras réconfortants qu’on ne veut plus, qui ne laissent qu’un goût amer, le même que les flash éblouissants qu’on aurait voulu aimer sans pouvoir les supporter une seconde. Medea est un projet raté, le premier essai qui se fait discret et observe dans l’ombre, fascinée, l’éclat des autres sans pouvoir leur voler une pointe de lumière. Non, Medea ne sait pas faire semblant, ne sait que garder le silence, la bouche acide, gratter les parures pour révéler à quel point tout n’est qu’apparence, une façade pour masquer les pots cassés, oublier l’Histoire qu’ils portent tous. Oui, Medea est bonne pour ça, gratter en silence pour peut-être éclipser la lumière qui n’est pas si belle. Medea est un être de logique, pas d’émotion, elle ne ment pas, elle ne s’épanche pas, c’est évident (même si elle s’époumone, même si elle a la voix qui tranche et qui tremble et le coeur qui palpite) (c’est qu’elle aimerait être un robot Medea sans réussir à l’être)
Tout est si alambiqué, l’a toujours été pour Medea. Depuis son premier souvenir, Medea est partagée. Il y a des bras réconfortants qu’on ne veut plus, qui ne laissent qu’un goût amer, le même que les flash éblouissants qu’on aurait voulu aimer sans pouvoir les supporter une seconde. Medea est un projet raté, le premier essai qui se fait discret et observe dans l’ombre, fascinée, l’éclat des autres sans pouvoir leur voler une pointe de lumière. Non, Medea ne sait pas faire semblant, ne sait que garder le silence, la bouche acide, gratter les parures pour révéler à quel point tout n’est qu’apparence, une façade pour masquer les pots cassés, oublier l’Histoire qu’ils portent tous. Oui, Medea est bonne pour ça, gratter en silence pour peut-être éclipser la lumière qui n’est pas si belle. Medea est un être de logique, pas d’émotion, elle ne ment pas, elle ne s’épanche pas, c’est évident (même si elle s’époumone, même si elle a la voix qui tranche et qui tremble et le coeur qui palpite) (c’est qu’elle aimerait être un robot Medea sans réussir à l’être)
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
En savoir plus
- Fun facts
- Physique
a grandi dans les paradoxes de sa soeur décousue entre ses paroles militantes et ses actes derrière le rideau – décolore ses cheveux bruns pour s’éloigner physiquement de Jude depuis l’adolescence – a pour autant pris beaucoup de ses habitudes comme les ongles et les talons, ombre de ce qu’arbore Jude : les ongles manicurés souvent rongés avec un vernis craquelé et les talons presque jamais aiguilles – résiste peu au froid aussi et boit trop de thés (toujours avec trop de sucre, le thé) – plein de tics nerveux; de la jambe qui martèle le sol aux doigts qui se démènent toujours contre quelque chose jusqu’aux poches des manteaux qu’elle déchire toujours – fume beaucoup trop – ne pose pas de mot sur sa sexualité parce qu’elle voit pas l’intérêt d’en parler mais ne fréquente pas d’homme – la colère qui se retient les lèvres pincées jusqu’à exploser parce qu’il faut bien se contrôler – sauf quand il s’agit de dossiers mal rangées, ça la fait sortir de ses gonds de chercher le document qu’elle veut (même si c’est probablement elle qui a oublié ledit document sur son bureau précairement organisé) – beaucoup de livres surtout d’Histoire chez elle – affreusement passionnée par le passé de l’île – la disparition d’un morceau de l’île était au coeur de ses recherches de base, elle ne sait plus comment tout a dévié de ce sujet mais c’était le coeur de sa thèse – depuis son entremellement avec un détective, elle fait son travail beaucoup plus distraitement, avec beaucoup de méfiance même depuis sa disparition – la doyenne l’intrigue depuis longtemps d’ailleurs, même si c’était pas vraiment teinté de méfiance avant – elle vit dans un petit appart’ t2 qu’elle occupe depuis très longtemps dans le quartier de Veritas, au plus proche du Collegium pour économiser les trajets – une vision de l’amour particulièrement désenchantée (merci Jude et ses trop nombreux mariages) – aime aller en boîte pour danser, c’est un peu son défouloir – les cheveux trop facilement en bordel s’ils ne sont pas attachés – l’envie terrible de mettre ses mains sur les archives inaccessibles à son grade de petite chercheuse de rien du tout – terriblement frustrée par l’évolution ou plutôt le manque d’évolution de sa carrière, les dernières années de sa vie lui donnent l’impression de faire le pantin qui s’occupe et pour cause : tout semble sous clef et inaccessible, il ne lui reste que le terrain qu’on lui autorise – souvent à fouiller les ruines et les extérieurs accessibles d’ailleurs – ça lui fout un peu la trouille parfois
La tête haute, toute blonde décolorée – le visage souvent placide avec ce pli qui se creuse entre les sourcils quand les talons claquent à chaque pas sur le sol – souvent de gros pulls avec des cols roulés ou des chemises, quelques airs bcbg un peu trop négligée souvent – les oreilles percées souvent avec des boucles d'oreilles pendantes ou des anneaux – parfois les mains ornées de bagues – un grain de beauté sous l'oeil – un peu de fard brun sur les yeux et de la couleur sur les lèvres pour masquer un manque de vitamines plus qu'autre chose
Pseudonyme
FloreAtlantisPronoms
she/herSouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
Je souhaite participer activement.Autre chose à rajouter ?
C'est la faute de Rogue si je suis là ok- Ca fait un petit moment que je vivote sur les fo rp, j'ai 24 ans, j'adore les meufs et le drama (oups) aussi je dessine mes avatars du coup merci de pas réutiliser les artworks Merci de m'avoir ouvert les portes en tout cas et hâte d'écrire avec vous!! ah et dites moi si j'ai tout cassé dans le code g peur de mes skills