description
✧ Ariel
27 ans
161 centimètres
Masc
Il/lui
Assistant administratif dans la fonction publique ✧ (chanteur du groupe d'Azur)
Lignée des Équilibres
Identité
- Histoire résumée
- Caractère
- Caractéristiques
≃ 573 (?) > {naissance} (en été) (probablement) ; période sans papiers (fiable) ni témoins (évaporés) pour en parler ; tu peux présumer (pas affirmer). Dates différentes (3) sur de la paperasse faites plusieurs semaines après les faits, des noms d’institutions qui pour certaines ont depuis fermées.
Tes premières traces concrètes sont médicales ;
574 – 579 > {institutions} Première stabilité physique et administrative. Entourées d’assistant sociales comme de volontaires. T’apprends à leur rendre la vie aussi facile que possible (te faire aimer), t’es l’enfant charmant qui se retient toujours de pleurer.
Des comportements problématiques, mais facilitant la vie des adultes, (on encourage) on les laisse passer ;
579 > {adoption} marraine Rogueet sa femme (partie) deviennent tes mamans gardiennes légales. Elle a une sœur aussi – ( ta famille ?)
T’as pas ton mot à dire – mais t’aurais dit oui.
Elle garde une main ferme, elle te sourit (gentiment ?) – et elle te dit de sourire, Ariel. Et les journalistes s’attendrissent.
Tu voudrais bien que Medea te parle, alors t’essayes de lire les livres qu’elle lit, de lui faire des dessins, mais rien n’y fait.
( 583 > Medea part dans le silence et tu te demandes qu’est-ce que tu as fait ou qu’est-ce que tu aurais pu faire)
( 584 > Mamans divorcent dans le fracas et tu te demandes qu’est-ce que tu as fait ou qu’est-ce que tu aurais pu faire)
Au lycée un groupe de musique se forme sans que tu comprennes exactement comment c’est arrivé. Très vite tu réalises qu’il faudra être celui qui s’occupe des aspects administratifs si tu veux le voir subsister.
T’as des idées claires sur tes plan d’études. Tu raffines tes projets avec des professeurs, t’essayes de te démarquer par tes aptitudes, tu places des demandes de bourse d’excellence, tu profites des occasions pour établir des connexions ;
590 + tu feras tes études au Collégium avec ta même excellence désespérée, et tu trouveras un travail dans les institution gouvernementales de l’Arceau.
Tu vises toujours à être aussi irremplaçable qu’invisible, mais dans ce domaine ce sont des qualités appréciées ;
596 > tu t'intègres au système comme une pièce de puzzle qui a toujours été là, attirant de discret regards approbateurs – Ton adhésion aux Équilibre se fait comme une évidence. ;
600 > ta carrière prend le chemin que tu voulais, ta vie ressemble presque à ce que tu cherchais, mais {il y a des tâches et tu voudrais les ignorer; celle que tu suivrais comme un chien qu’importe que tu puisses presque dire qu’elle n’a pas toujours, pas tout le temps, été parfaite ; Azur, dont tu as pris la place; et M– } ;
Tes premières traces concrètes sont médicales ;
574 – 579 > {institutions} Première stabilité physique et administrative. Entourées d’assistant sociales comme de volontaires. T’apprends à leur rendre la vie aussi facile que possible (te faire aimer), t’es l’enfant charmant qui se retient toujours de pleurer.
Des comportements problématiques, mais facilitant la vie des adultes, (on encourage) on les laisse passer ;
579 > {adoption} marraine Rogue
T’as pas ton mot à dire – mais t’aurais dit oui.
Elle garde une main ferme, elle te sourit (gentiment ?) – et elle te dit de sourire, Ariel. Et les journalistes s’attendrissent.
les flashs te feront toujours peur ;
579 – 590 > {enfance} adoré des professeurs. Tu travailles bien sous les encouragements – encore mieux de voir l’ombre de la satisfaction sur son visage. Sauter une classe, lui prouver que tu mérites qu’elle t’aime. Tu seras singe savant, joueras du piano, tu toucheras à tout – tu fileras l’or entre tes doigts. Tu commenceras l’escalade, mais tu te mettras à l’apprécier pour de vrai. Embarrassé de cet égoïsme flagrant – mais tu continues de ramener des prix à Ma – rraine, alors c’est excusable.Tu voudrais bien que Medea te parle, alors t’essayes de lire les livres qu’elle lit, de lui faire des dessins, mais rien n’y fait.
( 583 > Medea part dans le silence et tu te demandes qu’est-ce que tu as fait ou qu’est-ce que tu aurais pu faire)
( 584 > Mamans divorcent dans le fracas et tu te demandes qu’est-ce que tu as fait ou qu’est-ce que tu aurais pu faire)
Au lycée un groupe de musique se forme sans que tu comprennes exactement comment c’est arrivé. Très vite tu réalises qu’il faudra être celui qui s’occupe des aspects administratifs si tu veux le voir subsister.
T’as des idées claires sur tes plan d’études. Tu raffines tes projets avec des professeurs, t’essayes de te démarquer par tes aptitudes, tu places des demandes de bourse d’excellence, tu profites des occasions pour établir des connexions ;
590 + tu feras tes études au Collégium avec ta même excellence désespérée, et tu trouveras un travail dans les institution gouvernementales de l’Arceau.
Tu vises toujours à être aussi irremplaçable qu’invisible, mais dans ce domaine ce sont des qualités appréciées ;
596 > tu t'intègres au système comme une pièce de puzzle qui a toujours été là, attirant de discret regards approbateurs – Ton adhésion aux Équilibre se fait comme une évidence. ;
600 > ta carrière prend le chemin que tu voulais, ta vie ressemble presque à ce que tu cherchais, mais {il y a des tâches et tu voudrais les ignorer; celle que tu suivrais comme un chien qu’importe que tu puisses presque dire qu’elle n’a pas toujours, pas tout le temps, été parfaite ; Azur, dont tu as pris la place; et M– } ;
Ariel –
– ta chambre toujours bien rangée comme tes sourires; et tu laisseras derrière toi une empreinte très vite effacée sur une vie bien propre étiquetée bien classée – on t’accorderas quelques soupirs et mots de politesse expression de regrets des regards tristes à l’appui pour exprimer [comme c’est profond] [comme c’est vrai] et on pourra dans un dernier salut te reconnaître d’être toujours parvenue à ne jamais déranger. La voix qui jamais ne s’élève le regard qui jamais ne s’attarde le corps qui jamais ne prend trop de place {glissé dans le interstices qu’on lui laisse} {à l’ombre des regards} comme si t’avais fait ton affaire de n’exister que dans les miettes d’attention que les autres ont laissé, en retenant ta respiration toujours sur la pointe des pieds.– tu manqueras trois jours après comme la pluie qui ne vient pas quand s’attarde l’été. Tu manquera comme la table qui n’est pas mise le plat qui n’est pas prêt les course qui ne sont pas faites. Tu manqueras comme le linge qui ne s’est pas lavé seul et qu’on a pas séché plié. Tu manqueras comme l’oiseau qui ne chante plus dans sa cage, sans fracas ni dommages. Tu manqueras sans qu’on ne veuille le reconnaître, aux autres ou à soi-même, comme un aveu de faiblesse, un échec personnel – parce que partout où ton absence se fera ressentir on aurait voulu pouvoir dire qu’on se tenait seul et droit.
– on oubliera qui tu étais avant d’oublier ce dont tu avais l’air. Sans le poids de ton corps pour lester ton ombre à la réalité, ce sera ce que tu pouvais bien dire et penser qui leur échappera en premier. Ils oublieront si vite chaque fragment de tes pensées, ils placeront dans ta bouche les mots qui leurs appartiennent, que tu n’as jamais prononcé. Ils oublieront si ils t’ont déjà parlé en privé, ou seulement du travail du ciel et de la météo. Est-ce que tu aurais aimé ce film, cette série ? On dira [pour se racheter] que tu gardais les gens à un bras de distance, poli en toute circonstance. On essayera d’ignorer que c’était toi qui se souvenait des anniversaires qui savait discrètement les souhaiter faire le petit cadeau qu’on voulait tout en restant purement professionnelle. On évitera de trop y penser, et tu manqueras comme un anniversaire que personne ne vous souhaite. Tu y disparaîtras d’autant plus vite, dans la gêne d’avoir faillit à ta mémoire qu’on a pas su préserver [et tu ne le leur aurait pas reproché mais ils auraient été incapable de le dire] et comme ton essence qui s’évapore, c’est ton reflet qui se brouille. On te retrouvera dans l’esquisse délicate de quelque chose de toujours agréable, mais jamais remarquable – et ta voix te survivra, comme le souvenir de la cigale après l’été la seule trace enregistrée.
; effacé ✧ mais pourtant tout le temps présent ✧ efficace et appliqué ✧ attentif ✧ très privé ✧ organisé ✧ à l’écoute des besoins des autres ✧ le charisme tranquille de la secrétaire dans son petit pull de cachemire ✧ léger ✧ si léger ;
Ariel –
– du palais des miroirs { tête couronné } tu te déclines dans l’éclats d’innombrables reflets sans que jamais ne se dévoile l’original { le vrai. } Tu récites (avec aisance) (sans l’apprendre) un texte que tu découvres sur la scène. Soliste de nature Ariel pour tes arias il te faut un orchestre que la salle soit rempli { et oiseau tendre tu chantes pour le plaisir de l’impresario } T’as mille et un visage pour le besoin pour l’occasion et tu glisses le masque de velours sur celui de porcelaine sur celui de papier. Tu existes en réponse en écho. Tu te modules – aux besoins de Narcisse. Tu tends aux autres le miroir toujours charmant (qu’ils s’y sentent bien) (qu’ils s’y voient grand) tu mentiras à la belle-mère de Blanche-Neige que de blesser ses sentiment. Artisan de la fausseté tu donnes à chacun un visage une réponse à leur besoin. Autant de personnage qu’il y a de rencontre – si facile de créer les premiers liens de cette sympathique légère mensongère amitié (avec toi si laborieuse à creuser) (la terre file sous leur doigts) (et tes entrailles sont faites de sable) si il te faut quelque seconde à peine pour ne plus être un inconnu – il faudra tout le temps du monde pour tracer sur la plage l’esquisse d’une amitié.– tu réussis toujours à être solide. Et droit. Et celui dont on a besoin. Tu lis les règles. Tu regardes qui est en charge. Et tu deviens quelqu’un capable de lui parler. Regarde. Comme ça. C’est pas difficile. Laisse-moi faire. Tu prends les choses en mains – tu fais le travail que personne ne veut faire, tu occupes les interstices les espaces inoccupés. Tu t’assures d’être utile [ tu t’assures d’être aimé ] – tu t’assures qu’on te garde. Pourquoi on te jetterait. [ on ne t’abandonnerait pas ] T’es si pratique à avoir. Tu peux faire plus. [pas si tu es dur à remplacer] Si il faut. Ça te gêne pas. Jamais. [ s’il-te-plaît ? ]
; faux ✧ calculé ✧ la personne que tu voulais ✧ la personne que tu veux ✧ pas vrai ? ✧ [ pas vrai ? ] ✧ choisit le mensonge ✧ à la confrontation ✧ généreux et prenant soin des autres ✧ mais pour sa propre sécurité ;
Ariel –
– il faudra aller chercher ton âme aux tréfonds de la terre seulement pour la voir disparaître quand on pose sur le regard sur elle {eurydice au matin qu'est-ce que tu as a reprocher que d'avoir été aimé} hors piste tu ne sais pas trop comment agir (c’est toi que je veux connaître, pas la mise en scène) ( alors tu mets en scène le toi qu’il veut rencontrer ) (qu’est-ce qu’il cherche, qu’est-ce qu’il veut) (tu suis la courbe de ses yeux). Tu le fais sans penser sans le voir comme un papillon qui ne vivra qu’un an contourne une montagne depuis des décennies disparu dans son vol migratoire. Tu n’as rien à offrir aux chercheurs d’or qui se persuadent qu’il y a quelque chose de valeur sous la pierre. La vérité c’est qu’ils creuseront la terre en gouffre sans jamais t’y trouver.– bouche acide et yeux amer t’es le premier à te couper sur { les éclats des mots } que t’as jamais prononcé. Rarement assez à l’aise pour être moins que parfait t’y trébuches et dévoile ton pire ton fiel dès que tu te l’autorises une maladroite vulnérabilité {pardonnez la, elle est si jeune, elle a grandit en cage, elle ne sait pas marcher!} Tu laisses des traces de dents sur les mains tendues que t’aurais laissé s’approcher. [ta malédiction c’est de savoir seulement montrer ton meilleur à ceux qui n’ont pas d’importance et ton pire à ceux qui en ont] T’aurais besoin qu’ils devinent sans que jamais tu n’es rien à dire (voeux de silence pris dans l'enfance) - tu l’attends d’eux, presque. Tu t’épuises volontiers pour les besoins de qui t’entoure en disant ça n’est pas un problème (ça ne l’est pas, promis, et je continuerais) (promis) mais tu voudrais qu’on le ressente, l’apprécie. Tu voudrais qu’on sache quand tu veux arrêter (prendre une pause ! Pas longtemps, un instant) tu voudrais qu’on devine tes limites (tracée dans du sable) (dessinée dans le vide) sans que tu ais à les déterminer.
– tu pardonnes. Ton cœur s’enraille à la première ombre d’un pardon d’un regret – à moins que ça n’ai été entièrement ta faute ? Que l’espoir d’une excuse ne soit qu’un moment d’arrogance déplacée (et tu devrais avoir honte) (mais sans pleurer) (allons) (ne fait pas de chichi) d’un jeu d’enfant qui se refuse à perdre. Tu reviens baissant la tête – tu reviens t’excuser. Tu dois être terrible à vivre. Tu reviens t’excuser. T’as pas une limite que tu ne laisserais piétiner. Pour prouver ton honnêteté. Trop affamé d’amour pour questionner sa source son prix ses intérêts tu y bois sans hésiter (et parce que si tu questionne tu pourrais lea froisser)
; désolé ✧ désolé ✧ désolé ✧ je voulais pas ✧ désolé ✧ pardonne-moi ✧ désolé ✧ je sais pas pourquoi j’ai dit ça ✧ non pardon désolé ✧ c’est ma faute et j’aurais pas dû dire ça ✧ je retire ✧ s’il-te-plaît ✧ pardonne moi ;
Projet d’artiste volage, galatée du dimanche {tu t’es étranglé sur ta première inspiration} crachant recrachant ces poumons – dont tu te serais passé. Le marbre blanc s’anime en grimaçant – et tu erres toujours, cherchant le goût de miel sur tes lèvres cette caresse de l’amour qui te donna envie de vivre.
Leader·euse
Suiveur·se
Extraverti·e
Introverti·e
Logique
Émotionnel·le
Égoïste
Généreux·se
Optimiste
Pessimiste
Téméraire
Prudent·e
Démonstratif·ve
Calme
Ambitieux·se
Satisfait·e
Déloyal·e
Honnête
Désinvolte
Sérieux·se
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- Histoire
- Fun facts
- Physique
- Questions
T’as la bouche sèche et tes doigts te font mal. Tes ongles s’attaquent à tes jointures comme des morsures de rat qui s’irritent contre ce que tu as de peau pour couvrir ta chair tes os. Tu souris (souris Ariel) et les écoute s’animer – ( Leurs regards ont l’éclat des pièges à ours leurs sourires ont la courbe d’un hameçon et leurs questions bourdonnent fourmillent grouillent ) (leurs ventres grondent) Leur appétit féroce voudrait refermer des dents tranchante sur elle.
(c’est vrai elle n’est pas parfaite) (mais personne ne l’est) (ne peut l’être) (tout le monde à ses moments de maladresse) (encore plus ceux qu’on fixe ceux sous les projecteurs ceux qu’on observe)
– parfois quand son regard tombait indifférent sur des yeux suppliant (mais c’est parce qu’elle ne peut pas tout le temps donner ! Parce que c’est épuisant !) que ses mots prenaient ses notes moqueuses (mais pas cruelles ! pas volontairement) négligeant rappelaient que vous vous donniez trop d’importance (et parfois c’est pour rire – et ça n’est pas sa faute si tu ne le comprends pas) (si tu prends tellement au sérieux que tu le prend personnel) et parfois elle a blessé les autres. Brisé des cœurs. Les échos remontant de cris échangés pendant que tu fermais les yeux en imaginant un monde dans lequel tout serait réglé quand tu les rouvrirais. On ne revoit jamais ceux qu’elle abandonne.
{ Tu la connais comme eux ne le pourront jamais – tu sais que sous ses pointes de cruauté ses moments écorchant il y a tant de nuances et de complexité – et son regard presque tendre (fatigué) qu’elle n’a laissé que toi voir. Que si toi toitu la trahis tu la critiques alors charognards ils ne tenteront jamais ( ils n’essayent déjà pas ) de comprendre qui elle est. Ils voudront en faire leur proie. Ils plongeront leurs crocs dans ses entrailles et comme ils ont célébré son ascension sur sa chute ils festoieront }
Non tu dis et ta voix est douce charmante
Et tu promets.
Vertueusement avec acharnement un serment désespéré.
Qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait, très certainement, où que ses mots sont sortis de leur contexte, qu’elle n’est pas comme ça, que c’est pour le show le spectacle que promis – elle ne le pensait pas.
(c’est vrai elle n’est pas parfaite) (mais personne ne l’est) (ne peut l’être) (tout le monde à ses moments de maladresse) (encore plus ceux qu’on fixe ceux sous les projecteurs ceux qu’on observe)
– parfois quand son regard tombait indifférent sur des yeux suppliant (mais c’est parce qu’elle ne peut pas tout le temps donner ! Parce que c’est épuisant !) que ses mots prenaient ses notes moqueuses (mais pas cruelles ! pas volontairement) négligeant rappelaient que vous vous donniez trop d’importance (et parfois c’est pour rire – et ça n’est pas sa faute si tu ne le comprends pas) (si tu prends tellement au sérieux que tu le prend personnel) et parfois elle a blessé les autres. Brisé des cœurs. Les échos remontant de cris échangés pendant que tu fermais les yeux en imaginant un monde dans lequel tout serait réglé quand tu les rouvrirais. On ne revoit jamais ceux qu’elle abandonne.
Mais ta main dans la sienne et c’était le centre du monde.
{ Tu la connais comme eux ne le pourront jamais – tu sais que sous ses pointes de cruauté ses moments écorchant il y a tant de nuances et de complexité – et son regard presque tendre (fatigué) qu’elle n’a laissé que toi voir. Que si toi toi
Non tu dis et ta voix est douce charmante
Et tu promets.
Vertueusement avec acharnement un serment désespéré.
Qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait, très certainement, où que ses mots sont sortis de leur contexte, qu’elle n’est pas comme ça, que c’est pour le show le spectacle que promis – elle ne le pensait pas.
; la chambre bien rangée ✧ tes effets personnels (les vrais) tiennent dans une petite boîte ✧ et le reste pourra être jeté ✧ (des photos de familles) (découpées dans des magazines) (quelques photos de toi jeune enfant) (des petits mots tendres écrits en lettres hachurées) (juste ton un prénom, la date) (la plus vieille photo de toi que tu ais pu trouver) (et tu es presque sûr que c’est le bon bébé) (une photo de la première épouse de celle qui t’a élevée) (des crayons de couleurs) (ils n’étaient pas à toi) ✧ sur ce qui te sert d’acte de naissance (émis quand tu devais avoir quatorze mois) (mais on a écrit onze) (peut-être pour faciliter le processus administratif) il y a un prénom qui n’est plus le tien il y a une date qui n’est pas celle que tu fête il y a des fantômes que personne n’a nommé ✧ tu grinces chaque fois qu’il a fallu le présenter ✧ enfant palimpseste au passé estompé tu soupçonne qu’on t’a d’abord nommé après une rue de la ville ✧ né comme un graffiti ✧ mais se refusant à être effacé ✧ tu en garderas un polaroid que le soleil lentement grugera ;
; [ta mère] marraine ou madame ✧ maman t’es resté dans le larynx ✧ comme une cicatrice ✧ ça ne te dérange pas qu’elle t’ai renommé ✧ comme on clames sa propriété ✧ tu lui ramenait tes prix ✧ tu lui offrais tes trésors ✧ tu t’es offert ✧ enfant d’argile petite pandore toi la toute douée tu t’es laissé modelée tu as su suivre les règles et des malheurs tu t’es fait le cerbère ✧ le monde si lourd ✧ sur ses épaules à elle ✧ si frêle ✧ comme tu aurais voulu le prendre sur ton dos, le soulever ✧ tu voudrais le faire sans qu’elle le vois ✧ ne pas répandre ton sang sur ses pieds ✧ chien qui amène sa propre laisse ✧ tu donne la patte tu fais le beau ✧ il n’y a pas un ordre ✧ sorti de ses lèvres ✧ que tu ne suivrais ✧ tu t’ouvres comme un coffres, y cherchant l’or ✧ conscient de ne jamais pouvoir offrir assez ✧ tu lui est redevable comme aucun enfant jamais ne l’es ;
; tu gardes les choses toujours ordonnées ✧ tu classes les dossiers par plaisir ✧ tu relis leurs paragraphes oublié un café de côté aux petites heures de la nuit ✧ et tu essayes de ne rien laisser s’oublier ✧ ni personne ✧ tu fais le ménage chez les autres ✧ et tu tries leurs placards, leur garde-robe et leur habitude ✧ ton langage de l’amour ce sont les actes de service ✧ et tu t’éprends si facilement… ✧ ton cœur il fait le trottoir pour un prix dérisoire ✧ être vu sans être remarqué ✧ être aimé sans qu’on s’attache ✧ et te faire toute petite place ✧ t’as besoin d’avoir les mains toujours occupés ✧ tes doigts s’enlacent comme des jeunes mariés ✧ mais c’est discret ✧ tout ce qui dépasse chez toi, t’as appris à le maîtriser ✧ tes regards ✧ jeté en biais ✧ et tu sembles presque froid de loin ✧ mais ne pas s’y méprendre ✧ t’as le soleil chaud tempéré ✧ comme une photo de belle journée ;
; au travail ✧ ton sourire est une esquisse tracée d’une main experte ✧ la toile n’a rien de vrai ✧ t’es silencieux ✧ appliqué ✧ tu finiras les dossiers des autres si ils viennent te le demander ✧ (tant que c’est légal) ✧ mais tu t’assureras toujours de laissé ta trace de souris ✧ que l’œil avisé sache ce qui s’est passé ✧ un piège ruisselant de miel ✧ tu mènes toutes tes batailles d’une voix douce, posée ✧ personne ne se souvient de t’avoir jamais entendu crier ✧ (pleurer, si) ✧ (comme on ravale son cœur) ✧ (comme une gorge fragile contre des mains serrées) ;
; sommeil léger d’un oiseau ✧ tendance nuit blanche et sieste rapide ✧ ta journée commence toujours à la même heure ✧ et au besoin tu mettras du cache-cerne ✧ jamais tu te soucies de ta consommation de café ✧ tu manges de tout, tu apprécies très peu de chose ✧ ton palais compliqué est resté celui d’un jeune enfant capricieux ✧ qui se rebutes face aux goûts face aux textures ✧ mais ton attitude est celle d’une femme lasse qui ne se bat plus ✧ et poliment gentiment trouve tout excellent ✧ (menteur) ✧ intolérant au lactose ✧ tu laisses toujours les autres décider où aller manger ✧ tu fumes, mais presque en secret ✧ avec toute la honte du monde ✧ tes doigts sont constamment un peu abîmé ✧ abandonner la basse t’as bien arrangé ✧ pour Azur tu jouais sur des ligaments déchirés ✧ tu t’es déjà brisé la clavicule ✧ {et alors ! comme elle fut tendre ! comme elle t’aima !} ✧ tu grimpes toujours ✧ pour la sensation de liberté ✧ (pour pouvoir, un instant, te jeter dans le vide) ✧ (et goûter à la mort sans la consommer) ✧ tu préfères l’escalade de tête à celle de bloc ✧ mais tu n’es jamais contre un problème ✧ fut un temps tu entraînais les muscles doigts pour être un meilleur grimpeur ✧ aujourd’hui tu les entraînes pour pouvoir utiliser les disponibles quand tu te blesses aux principaux ✧ compétitif ✧ sans l’assumer ✧ en toute occasion ✧ tu préfèreras prétendre à un niveau inférieur au tient ✧ pour perdre en tout bien tout honneur ✧ et prétendre à la chance quand tu gagnes – et protéger les sentiments du perdants ✧ trop charmant ✧ (et tu mens mens mens) ;
; t’as pas échangé plus de trois phrases avec un homme adulte avant tes dix ans ✧ ta vie s’est vraiment faites sur le dos des femmes mains dans les mains avec d’autre enfants ✧ aujourd’hui t’es capable de traîner dans la poussière poliment légalement tout homme si la situation (quelqu’un d’autre) le demande ✧ t’y prendras même un certain plaisir ✧ à montrer le pouvoir qu’au besoin tu peux avoir, les choses que tu ne dévoiles jamais ✧ mais tu seras un petit garçon sage ✧ devant une femme mature ✧ ta vie sexuelle est tellement privée ✧ personne ne suspecte son existence ✧ t’as déjà eu des sugar mommies ✧ et personne ne l’a soupçonné ✧ t’as tellement besoin de contrôle t’as fait des tonnes de recherches avant ton premier baiser ✧ et t’as prétendu que c’était le deuxième ou troisième ✧ t’as fait la même chose quand t’as perdu ta virginité ✧ jamais tu te permettras d'être pris au dépourvu pas la nouveauté ✧ par le fait de ne pas être préparé ;
; t’as l’humour noir ✧ quand il est vrai ✧ (rarement) (en privé) ✧ tes démonstration d’émotions s’essayent à être discrète ✧ quand elles sont vrai ✧ la main devant le visage ✧ le sourire ravalée la crainte ancrée dans la chair qu’une caméra indiscrète saisisse ce moment d’honnêteté ✧ elles sonnent si faux, une pâle imitation de la réalité si loin de celle que tu as perfectionnées (on te reproche leur fausseté) ✧ tu restes généralement sobre en soirée ✧ le manque de contrôle est un gouffre dans lequel tu n’es pas encore prêt à sauter ✧ et tu te sens trop responsable pour te laisser aller ✧ tu t’assureras que tout le monde est rentré ✧ quittes à les traîner chez eux toi-même ✧ tu répondras toujours présent en cas de problème ✧ à toute heure de la nuit ✧ (le jour tu t’organiseras autours) ✧ (comme un renard dans un filet se démène) ✧ (sans glapir pour ne pas attirer les attention de ceux qui t’achèverais) ✧ tu t’es tellement habitué à être là pour ceux des autres ✧ tu en oublies que tu peux demander la pareille ✧ beaucoup de vocabulaire ✧ pour quelqu’un qui ne sait pas communiquer ;
; les réseaux sociaux t’angoissent ✧ alors généralement tu les ignores ✧ ou tu laisses les autres les gérer, te partager le contenu qui leur plaît ✧ {toi qui veut plaire, toi qui veut disparaître dans un décor} {leur bruit constant leur regards leur désapprobations leurs opinions divergents et l’anonymité l’anonymité l’anonymité te paralyse} {incapable de former un visage approprié} ✧ t’y a lu tant de chose horrible sur des gens qui comptaient ✧ tu préfère ne jamais regarder ✧ t’angoisse en général ✧ même sans ça ✧ anxieux ✧ déteste voir se mélanger ✧ les amis du travail ceux de l’ordinaire et les vrai ✧ trop de masques qui se contredisent pour savoir lequel présenter ✧ t’as honte ✧ t’as si si si si honte ✧ tu sais que tu les déçois ✧ que tu remplis pas les chaussures de l’image qu’ils ont de toi ✧ la culpabilité te dévore ✧ de pas réussir à être en permanence parfait ✧ une poupée ✧ de ressentir des choses qui t’échappent ✧ de ne pas faire battre ton cœur au rythme d’un métronome ✧ d’être occasionnellement en désaccord avec l’opinion des autres ✧ de ne pas pouvoir satisfaire tout le monde ✧ d’être celui qu’elle a choisit ✧ d’avoir certainement pris la place d’un autre ✧ quelqu’un de ✧ plus vrai ✧ quelqu’un qui ✧ l’aurait mérité ;
; [ta mère] marraine ou madame ✧ maman t’es resté dans le larynx ✧ comme une cicatrice ✧ ça ne te dérange pas qu’elle t’ai renommé ✧ comme on clames sa propriété ✧ tu lui ramenait tes prix ✧ tu lui offrais tes trésors ✧ tu t’es offert ✧ enfant d’argile petite pandore toi la toute douée tu t’es laissé modelée tu as su suivre les règles et des malheurs tu t’es fait le cerbère ✧ le monde si lourd ✧ sur ses épaules à elle ✧ si frêle ✧ comme tu aurais voulu le prendre sur ton dos, le soulever ✧ tu voudrais le faire sans qu’elle le vois ✧ ne pas répandre ton sang sur ses pieds ✧ chien qui amène sa propre laisse ✧ tu donne la patte tu fais le beau ✧ il n’y a pas un ordre ✧ sorti de ses lèvres ✧ que tu ne suivrais ✧ tu t’ouvres comme un coffres, y cherchant l’or ✧ conscient de ne jamais pouvoir offrir assez ✧ tu lui est redevable comme aucun enfant jamais ne l’es ;
; tu gardes les choses toujours ordonnées ✧ tu classes les dossiers par plaisir ✧ tu relis leurs paragraphes oublié un café de côté aux petites heures de la nuit ✧ et tu essayes de ne rien laisser s’oublier ✧ ni personne ✧ tu fais le ménage chez les autres ✧ et tu tries leurs placards, leur garde-robe et leur habitude ✧ ton langage de l’amour ce sont les actes de service ✧ et tu t’éprends si facilement… ✧ ton cœur il fait le trottoir pour un prix dérisoire ✧ être vu sans être remarqué ✧ être aimé sans qu’on s’attache ✧ et te faire toute petite place ✧ t’as besoin d’avoir les mains toujours occupés ✧ tes doigts s’enlacent comme des jeunes mariés ✧ mais c’est discret ✧ tout ce qui dépasse chez toi, t’as appris à le maîtriser ✧ tes regards ✧ jeté en biais ✧ et tu sembles presque froid de loin ✧ mais ne pas s’y méprendre ✧ t’as le soleil chaud tempéré ✧ comme une photo de belle journée ;
; au travail ✧ ton sourire est une esquisse tracée d’une main experte ✧ la toile n’a rien de vrai ✧ t’es silencieux ✧ appliqué ✧ tu finiras les dossiers des autres si ils viennent te le demander ✧ (tant que c’est légal) ✧ mais tu t’assureras toujours de laissé ta trace de souris ✧ que l’œil avisé sache ce qui s’est passé ✧ un piège ruisselant de miel ✧ tu mènes toutes tes batailles d’une voix douce, posée ✧ personne ne se souvient de t’avoir jamais entendu crier ✧ (pleurer, si) ✧ (comme on ravale son cœur) ✧ (comme une gorge fragile contre des mains serrées) ;
; sommeil léger d’un oiseau ✧ tendance nuit blanche et sieste rapide ✧ ta journée commence toujours à la même heure ✧ et au besoin tu mettras du cache-cerne ✧ jamais tu te soucies de ta consommation de café ✧ tu manges de tout, tu apprécies très peu de chose ✧ ton palais compliqué est resté celui d’un jeune enfant capricieux ✧ qui se rebutes face aux goûts face aux textures ✧ mais ton attitude est celle d’une femme lasse qui ne se bat plus ✧ et poliment gentiment trouve tout excellent ✧ (menteur) ✧ intolérant au lactose ✧ tu laisses toujours les autres décider où aller manger ✧ tu fumes, mais presque en secret ✧ avec toute la honte du monde ✧ tes doigts sont constamment un peu abîmé ✧ abandonner la basse t’as bien arrangé ✧ pour Azur tu jouais sur des ligaments déchirés ✧ tu t’es déjà brisé la clavicule ✧ {et alors ! comme elle fut tendre ! comme elle t’aima !} ✧ tu grimpes toujours ✧ pour la sensation de liberté ✧ (pour pouvoir, un instant, te jeter dans le vide) ✧ (et goûter à la mort sans la consommer) ✧ tu préfères l’escalade de tête à celle de bloc ✧ mais tu n’es jamais contre un problème ✧ fut un temps tu entraînais les muscles doigts pour être un meilleur grimpeur ✧ aujourd’hui tu les entraînes pour pouvoir utiliser les disponibles quand tu te blesses aux principaux ✧ compétitif ✧ sans l’assumer ✧ en toute occasion ✧ tu préfèreras prétendre à un niveau inférieur au tient ✧ pour perdre en tout bien tout honneur ✧ et prétendre à la chance quand tu gagnes – et protéger les sentiments du perdants ✧ trop charmant ✧ (et tu mens mens mens) ;
; t’as pas échangé plus de trois phrases avec un homme adulte avant tes dix ans ✧ ta vie s’est vraiment faites sur le dos des femmes mains dans les mains avec d’autre enfants ✧ aujourd’hui t’es capable de traîner dans la poussière poliment légalement tout homme si la situation (quelqu’un d’autre) le demande ✧ t’y prendras même un certain plaisir ✧ à montrer le pouvoir qu’au besoin tu peux avoir, les choses que tu ne dévoiles jamais ✧ mais tu seras un petit garçon sage ✧ devant une femme mature ✧ ta vie sexuelle est tellement privée ✧ personne ne suspecte son existence ✧ t’as déjà eu des sugar mommies ✧ et personne ne l’a soupçonné ✧ t’as tellement besoin de contrôle t’as fait des tonnes de recherches avant ton premier baiser ✧ et t’as prétendu que c’était le deuxième ou troisième ✧ t’as fait la même chose quand t’as perdu ta virginité ✧ jamais tu te permettras d'être pris au dépourvu pas la nouveauté ✧ par le fait de ne pas être préparé ;
; t’as l’humour noir ✧ quand il est vrai ✧ (rarement) (en privé) ✧ tes démonstration d’émotions s’essayent à être discrète ✧ quand elles sont vrai ✧ la main devant le visage ✧ le sourire ravalée la crainte ancrée dans la chair qu’une caméra indiscrète saisisse ce moment d’honnêteté ✧ elles sonnent si faux, une pâle imitation de la réalité si loin de celle que tu as perfectionnées (on te reproche leur fausseté) ✧ tu restes généralement sobre en soirée ✧ le manque de contrôle est un gouffre dans lequel tu n’es pas encore prêt à sauter ✧ et tu te sens trop responsable pour te laisser aller ✧ tu t’assureras que tout le monde est rentré ✧ quittes à les traîner chez eux toi-même ✧ tu répondras toujours présent en cas de problème ✧ à toute heure de la nuit ✧ (le jour tu t’organiseras autours) ✧ (comme un renard dans un filet se démène) ✧ (sans glapir pour ne pas attirer les attention de ceux qui t’achèverais) ✧ tu t’es tellement habitué à être là pour ceux des autres ✧ tu en oublies que tu peux demander la pareille ✧ beaucoup de vocabulaire ✧ pour quelqu’un qui ne sait pas communiquer ;
; les réseaux sociaux t’angoissent ✧ alors généralement tu les ignores ✧ ou tu laisses les autres les gérer, te partager le contenu qui leur plaît ✧ {toi qui veut plaire, toi qui veut disparaître dans un décor} {leur bruit constant leur regards leur désapprobations leurs opinions divergents et l’anonymité l’anonymité l’anonymité te paralyse} {incapable de former un visage approprié} ✧ t’y a lu tant de chose horrible sur des gens qui comptaient ✧ tu préfère ne jamais regarder ✧ t’angoisse en général ✧ même sans ça ✧ anxieux ✧ déteste voir se mélanger ✧ les amis du travail ceux de l’ordinaire et les vrai ✧ trop de masques qui se contredisent pour savoir lequel présenter ✧ t’as honte ✧ t’as si si si si honte ✧ tu sais que tu les déçois ✧ que tu remplis pas les chaussures de l’image qu’ils ont de toi ✧ la culpabilité te dévore ✧ de pas réussir à être en permanence parfait ✧ une poupée ✧ de ressentir des choses qui t’échappent ✧ de ne pas faire battre ton cœur au rythme d’un métronome ✧ d’être occasionnellement en désaccord avec l’opinion des autres ✧ de ne pas pouvoir satisfaire tout le monde ✧ d’être celui qu’elle a choisit ✧ d’avoir certainement pris la place d’un autre ✧ quelqu’un de ✧ plus vrai ✧ quelqu’un qui ✧ l’aurait mérité ;
✧ Alors pour ce regard qu’elle t’a donné ✧
✧ le miel ✧
✧ tu t’appliques à toujours toujours toujours être celui qu’elle voudrait ✧
✧ le miel ✧
✧ tu t’appliques à toujours toujours toujours être celui qu’elle voudrait ✧
; cheveux qui sentent bon et propre ✧ des vagues blonde dont le platine s’est terni en grandissant ✧ âge de rouille âge d’airain ✧ mais comme tu te refuse de virer un triste blond ✧ tu les fait teindre aux ton de l’enfance passée ✧ (et tu te tais quand on les touche, qu’on les caresse) (ou joue dedans) (elle aussi, parfois…) ✧ connais la différence entre le shampoing et le conditionner (évidemment) ✧ boucle quand il fait humide ✧ [et si un jour t’arrêtes la musique] [alors tu les feras couper court] ;
; la peau lisse ✧ aux veines visible ✧ quelques cicatrices (le baiser d'un scalpel) presques effacées ✧ probablement un peu trop pâle ✧ c’est le manque de soleil (ou de vitamine) ✧ [diversifie ton alimentation] ✧ les yeux tranchant ✧ on s’y couperait ✧ skincare / 20 ✧ plus pour la routine que par besoin ✧ le concealer pour les cernes et la poudre pour fixer et matifier ça ne compte pas comme du maquillage ;
; les ongles toujours courts ✧ mais fait professionnellement ✧ [ c’était pour perdre l’habitude de les ronger ] ✧ [il ne l’a pas complètement perdue] ✧ puis il aime que ce soit joli ✧ crème pour les mains au léger parfum fleur ✧ il essaye d’en prendre soin mais le contact régulier de la craie les a bien desséchées ✧ un peu jaloux des gens qui ont les doigts longs ;
; toujours propre sur toi ✧ et agréable à regarder ✧ même en vêtement de sport ✧ l’égérie des ces femmes qui repeindraient la chambre de leurs enfants en beige et pastel ✧ ne saurait pas mal s’habiller ✧ porte généralement des couleurs neutres et claires ✧ [le bleu te vas bien] ✧ l’art de disparaître ✧ faire partie du décor tout en l’embellissant ✧ et d’exister sans jamais déranger ✧ ni les yeux ni les sens ;
; l’air un peu fragile d’un animal qui vous montre sa gorge découverte ✧ mais c’est être aveugle à ta manière de bouger ✧ trop maîtrisée ✧ dans un corps qui respire le contrôle ✧ les yeux d’une biche surprise par les phares d’une voiture ✧ quand les choses t’échappent un brin ;
; la peau lisse ✧ aux veines visible ✧ quelques cicatrices (le baiser d'un scalpel) presques effacées ✧ probablement un peu trop pâle ✧ c’est le manque de soleil (ou de vitamine) ✧ [diversifie ton alimentation] ✧ les yeux tranchant ✧ on s’y couperait ✧ skincare / 20 ✧ plus pour la routine que par besoin ✧ le concealer pour les cernes et la poudre pour fixer et matifier ça ne compte pas comme du maquillage ;
; les ongles toujours courts ✧ mais fait professionnellement ✧ [ c’était pour perdre l’habitude de les ronger ] ✧ [il ne l’a pas complètement perdue] ✧ puis il aime que ce soit joli ✧ crème pour les mains au léger parfum fleur ✧ il essaye d’en prendre soin mais le contact régulier de la craie les a bien desséchées ✧ un peu jaloux des gens qui ont les doigts longs ;
; toujours propre sur toi ✧ et agréable à regarder ✧ même en vêtement de sport ✧ l’égérie des ces femmes qui repeindraient la chambre de leurs enfants en beige et pastel ✧ ne saurait pas mal s’habiller ✧ porte généralement des couleurs neutres et claires ✧ [le bleu te vas bien] ✧ l’art de disparaître ✧ faire partie du décor tout en l’embellissant ✧ et d’exister sans jamais déranger ✧ ni les yeux ni les sens ;
; l’air un peu fragile d’un animal qui vous montre sa gorge découverte ✧ mais c’est être aveugle à ta manière de bouger ✧ trop maîtrisée ✧ dans un corps qui respire le contrôle ✧ les yeux d’une biche surprise par les phares d’une voiture ✧ quand les choses t’échappent un brin ;
✧ la nonchalance de ces gens qui n’ont jamais douté de leur apparence ✧
[ l’inconsciente tendance à profiter des avantages que la beauté offre ]
✧ puisque très certainement, on les offre à tout le monde ? ✧
[ l’inconsciente tendance à profiter des avantages que la beauté offre ]
✧ puisque très certainement, on les offre à tout le monde ? ✧
Un souvenir qui vous est cher ? { on dirait qu'elle s'en excuserait presque }
{ et tu ne peux pas lire son sourire }
✧ et elle te dit qu'elle te voit et tu as un chez toi.
{ et tu ne peux pas lire son sourire }
✧ et elle te dit qu'elle te voit et tu as un chez toi.
Par quelles compétences vous illustrez-vous (technologiques, intellectuelles, physiques, humaines, etc.) ? [ ta remarquable capacité à dessiner dans les lignes sans jamais déborder depuis ton plus jeune âge, même quand elles sont invisibles. ;
et prendre la responsabilité quand tu dépasses ;
et t'excuser ]
et prendre la responsabilité quand tu dépasses ;
et t'excuser ]
Plutôt compote d’insectes, canard laqué cultivé ou steak de durian délicatement fumé au maroilles ? ; tu prendras et mangeras ce que l'on te commande ;
✧
[ Merci ]
✧
[ C'était délicieux. ]
✧
[ Merci ]
✧
[ C'était délicieux. ]
Votre pire cauchemar ? { on dirait qu'elle s'en excuserait presque }
{ et pour une fois tu peux lire son sourire }
✧ et elle te dit qu'elle n'a plus besoin de toi et tu te noies.
{ et pour une fois tu peux lire son sourire }
✧ et elle te dit qu'elle n'a plus besoin de toi et tu te noies.
Utilisez-vous souvent DysCord ? ; à son corps défendant, mais parce que c'est nécessaire ;
✧
[ répond très vite ;
généralement brèvement ;
à toute heure ;
vous jugera de prendre votre temps ]
[ si il vous ignore, vous pouvez présumer que c'était volontaire ]
[ vous devriez ]
✧
[ répond très vite ;
généralement brèvement ;
à toute heure ;
vous jugera de prendre votre temps ]
[ si il vous ignore, vous pouvez présumer que c'était volontaire ]
[ vous devriez ]
Pseudonyme
SoliloquePronoms
She/theySouhaitez-vous participer à l’intrigue ou non ?
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